Un bobard géant et un scandale planétaire. Les grands médias traînent manifestement des pieds pour le reconnaître, mais, pris la main dans le sac et sous la pression des réseaux sociaux, ils sont bien obligés d’en parler, sans omettre de faire passer l’IHU Méditerranée-Infection et ses relais pour des complotistes et des propagateurs de fakenews. La suite de l’enquête de Maurizio Blondet (cf. Guerre mondiale à la chloroquine (suite))

(*) A regarder, l’interview hebdomadaire de Didier Raoult sur son compte Twitter: youtu.be/zUbiYhknaK (on peut s’agacer de l’entendre proclamer: « je suis une star »…Disons qu’il ne pèche pas par modestie, mais il a probablement des raisons)


QUI PAIE POUR CETTE FRAUDE MASSIVE? ET L’EXTERMINATION?

Maurizio Blondet
1er juin 2020
Ma traduction

Une semaine. Il n’a fallu qu’une semaine et l’étude publiée dans le Lancet, que votre modeste chroniqueur a qualifiée d' »embarrassante » – qui montrait que la chloroquine contre Covid19 tuait des patients, est en train de tomber en flammes.

L’étude prétend avoir examiné les dossiers médicaux de plus de 96 000 patients dans des centaines d’hôpitaux du monde entier (bien que 70 % proviennent en fait d’hôpitaux américains). Le ministère australien de la santé, constatant que le nombre de décès cités dans l’étude était plus élevé que ses conclusions, a demandé des éclaircissements aux cinq hôpitaux australiens cités par The Lancet. Les directions des cinq hôpitaux sont tombées des nues: jamais contactées par Surgisphere, la mystérieuse start-up citée comme collecteur de données (dossiers médicaux de 90 000 patients!), et même jamais entendu parler.

On lui a demandé de nommer les hôpitaux d’où (selon ses dires) elle avait obtenu les données, mais Surgisphere a refusé.

Les experts en statistiques médicales et en épidémiologie ont été stupéfaits de constater que l’étude montrait un taux de mortalité de 16-24% chez les patients à qui l’on avait administré de la chloroquine, par rapport aux 9% des [du groupe de] contrôle(s). « C’est un chiffre énorme! Comment se fait-il que nous ne l’ayons pas remarqué? Peu de médicaments sont aussi efficaces pour tuer les gens », ironise l’un d’entre eux.

Même le fait que l’étude ne compte que 4 auteurs semble étrange: pour 96 000 patients dans le monde, il devrait y avoir en bas de l’article une demi-page de remerciements aux contributeurs du monde entier.

Heure après heure, cela empire. Surgisphere, la startup qui aurait fait l’énorme travail de collecte et de numérisation des données de 96 000 dossiers médicaux, a été mise en liquidation forcée en septembre 2015.

« Surgisphere » aurait été créé le 1er mars 2007 par le Dr Sapan Desai, qui est l’un des co-auteurs de l’étude de The Lancet. Cette société serait spécialisée dans le big data et l’utilisation de l’intelligence artificielle dans l’analyse des données. Une autre société au nom de Sapan Desai, Surgisphere Corporation, a été fondée le 28 juin 2012, puis dissoute en janvier 2016… Des sociétés portant le même nom ont été créées et supprimées plusieurs fois dans différents États pour absence de production de comptabilité.

Quant au président de Surgisphere, Sapan Desai, il n’a pratiquement aucune publication scientifique à son actif (à l’exception de quelques bricoles), et par contre un jugement très négatif d’un patient : « Plus homme d’affaires que médecin… Très mauvaise expérience ».
Bref, un escroc. Et qu’en est-il du premier signataire de l’étude publiée par Lancet? Mandeep R. Mehra, est spécialiste en cardiologie vasculaire ; en tant que professeur à la prestigieuse Harvard Medical School, c’est lui qui a donné un peu de lustre à « l’étude » de l’inexistante Surgishpere.

Mais interrogé par France Soir, le Dr Mehra confirme l’extrême dangerosité de l’hydroxychloroquine (HCQ) pour les patients atteints de Covid19, et assure avoir entamé « la collecte active de données sur l’HCQ dans le traitement de COVID-19 depuis le 20 décembre 2019 ». C’est-à-dire à une date où le virus était à peine identifié. C’est donc lui aussi un escroc.

L’étude s’est révélée bourrée de falsifications.

Le Guardian a raconté l’histoire, balançant un scoop que le reste des médias ne semble pas vouloir imiter. Cependant, des doutes sur la crédibilité de l’étude ont même été exprimés par le New York Times, de sorte que le scandale risque de s’internationaliser à tout moment, malgré les efforts du mainstream pour l’ignorer. Un LancetGate .
A présent, il y a un réel soupçon que les auteurs aient été payés par quelqu’un pour organiser ce faux. Et même la publication du Lancet a dû être payée. Et grassement si la revue a mis son vieux prestige en jeu dans cette fraude.

Mais les questions ne peuvent pas s’arrêter là. Sous le prétexte de cet article et de sa fausse alerte, notre ministre de la santé, Speranza, a immédiatement interdit l’utilisation en milieu hospitalier de l’hydroxychloroquine pour le traitement du Covid; a-t-il été payé? c’est à espérer pour lui, car s’il l’a fait gratuitement, il confirme qu’il est un idiot ignorant, un zombie obéissant comme un robot à l’OMS à la gestion scandaleuse. Et avec cela, il s’est rendu complice de l’énorme fraude que s’avère être l’affaire Covid19, du terrorisme médiatique construit spécifiquement au niveau supranational, du projet de blocus et d’assignation à résidence de populations entières, dans le but de les inciter à invoquer la vaccination obligatoire pour être libérées et retourner au travail – à supposer qu’ellestrouvent encore un emploi, dans l’économie que cette fraude a dévastée.

Maintenant, « le Covid-19 « d’un point de vue clinique n’existe plus », comme l’a dit Alberto Zangrillo, chef de l’unité de soins intensifs de San Raffaele à Milan.

« Les tests effectués au cours des dix derniers jours ont une charge virale absolument infinitésimale du point de vue quantitatif par rapport à ceux effectués sur les patients il y a un mois, deux mois. On ne peut pas continuer de focaliser l’attention, et même de façon absurde, en donnant la parole non pas aux cliniciens, non pas aux vrais virologues, mais à ceux qui se prétendent professeurs: le virus n’existe plus d’un point de vue clinique ».

Il faudrait examiner l’hypothèse selon laquelle c’est tout simplement l’auto-administration de chloroquine à titre préventif par des millions de médecins, d’infirmières et de personnel hospitalier à travers le monde, dont on sait qu’ils ont été exposés à la contagion, qui a puissamment contribué à neutraliser le virus – passé dans ces organismes sans pouvoir se multiplier – faisant disparaître les malades (au désespoir des responsables) avant que le développement du vaccin ne soit imposé à l’humanité.

L’article du Lancet pourrait être la tentative grossière, maladroite et tardive de l’organisation criminelle internationale organisatrice de la pandémie pour éviter ce résultat.

Mais à ce stade, l’autre observation du Dr Zangrillo devient cruciale:

Terroriser le pays est une chose dont quelqu’un doit assumer la responsabilité ».

Oui. Qui paie? La question doit être élargie. L’économie mondiale a été bloquée par l’alarme terroriste provoquée par l’OMS et les médias, par les « comités scientifiques » qui ont conduit les gouvernements à ordonner la réclusion de la population saine (les jeunes, capables de travailler, chez qui le Covid19 ne produit notoirement pas de graves dégâts) au lieu d’isoler le quota minoritaire réellement en danger, les plus de soixante-dix ans avec d’autres maladies.
Qui paie pour ces dommages irresponsables à l’économie? Et dans quelle mesure tout cela a-t-il été conscient et délibéré?
Sous le prétexte de la protection de la santé, la dictature thérapeutique mondiale sans précédent a été instaurée, avec l’imposition de l’identification de chaque personne au moyen d’instruments numériques.

Qui paie ?
Aux États-Unis, trente millions de chômeurs. En Italie, un ou deux millions, des entreprises fermées à jamais, le tourisme anéanti pendant des années, des suicides à la chaîne; s’y ajoute les décès dus aux thérapies suspendues à cause de la pseudo-pandémie.

Qui paie ?
Qui paie pour les interdictions absurdes et sadiques, les lourdes amendes imposées à des innocents, les jeux d’enfants interdits dans les parcs, la violence despotique et arbitraire contre la liberté individuelle? Qui paie pour le classement, l’intimidation et la censure des journalistes qui dénoncent les fraudes du tristement célèbre Centre de surveillance de la désinformation sur les coronavirus ?

Une énorme fraude supranationale, avec une complicité nationale ramifiée, des gouvernements aux médias en passant par les « scientifiques », a détruit des millions de vies. La Commission européenne travaille sur un certificat de vaccination à l’échelle de l’UE depuis 2018.
Récemment, toute une série de politiciens locaux ont fait la queue pour les vaccinations de masse obligatoires.

Dans quel but ? Pour imposer l’autorisation de vaccination-certification? Nous voyons les exécuteurs locaux à la télévision ; qui sont les directeurs ? Pourquoi ont-ils froidement ordonné cette escroquerie criminelle et l’extermination qui s’ensuit?

Ils ont commis un crime sans précédent historique, en association avec des milliers d’auteurs. Y a-t-il un juge qui veut les inculper? Pas ici, nous n’avons plus de magistrature (…). Nous espérons (faiblement) dans les États-Unis ou le Royaume-Uni.

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