Tandis que des musulmans attaquent la France au couteau, à Nice mais aussi à Lyon et Avignon, les européens se préparent à la contre-attaque… avec des peluches, des bougies et des T-Shirts « JE SUIS » (*). Bonnes gens, vous pouvez dormir tranquilles. Une réflexion d’Agostino Nobile, l’une des plumes récurrentes du blog de Marco Tosatti.
(*) Petite mise au point sous forme de nuance: à Nice, on n’a pas eu droit au slogan « Je suis… », dont apparemment les catholiques ne sont pas dignes (et à vrai dire on ne va pas s’en plaindre!). Force est de constater que le traitement médiatique est très différent de ce qu’il a été pour le professeur décapité lui aussi, mais pour avoir exhibé des caricatures de CH présentées comme symboles de la liberté d’expression à la française. Liberté d’expression qui serait une « valeur » de la « république », contrairement à la liberté de culte… catholique.
Les assassins ne sont pas fous, les fous, c’est nous, Bergoglio et la gauche
Musulmans en action à Nice, Lyon et Avignon
Les européens à la contre-attaque avec des peluches et des « JE SUIS »
Le jeune Brahin Aoussaoui, le matin du jeudi 29 octobre, est entré dans une église de Nice et a tué trois personnes avec un couteau, décapitant l’une d’entre elles. C’est un signe supplémentaire de ce qui se passera de plus en plus en Europe. Les islamistes qui commettent des crimes ne sont pas seulement motivés par leur doctrine, mais aussi par cette gauche politique qui les dorlote et les protège au point de marginaliser quiconque ose critiquer l’islam…
Par conséquent, ceux qui égorgent et massacrent les gens en Occident et les chrétiens vivant dans le monde islamique ne sont pas des fragments devenues fous ou, comme le disent les politiciens et les médias, des malades mentaux. Les jeunes musulmans qui risquent leur vie pour tuer des personnes sans défense sont sûrs d’être récompensés par Allah. C’est écrit dans le Coran, c’est ce que la doctrine enseigne.
Si les crimes des islamistes sont soutenus par une doctrine qui ne laisse aucun doute, le comportement plus qu’ambigu, pour ne pas dire suicidaire, est offert par nos gouvernants, intellectuels de gauche et l’homme sans vergogne habillé en blanc. Ecouter Mattarella [président de la République italienne], qui, au sujet du coupeur de tête de Nice, commente : « s’opposer au fanatisme quelle que soit son origine » , laisse sans voix. Tout comme les mots vides de Macron, Conte & C.
Jamais un mot qui indique clairement l’Islam et sa doctrine mortifère mais, comme le Pape, ils pointent du doigt les extrémismes de toutes les religions. Peu importe que ce soient toujours uniquement les fondamentalistes islamiques qui massacrent des innocents dans toutes les régions du monde. Peu importe que l’Isis ait massacré des milliers de chrétiens et de musulmans qui n’ont pas participé aux massacres. Peu importe si, dans certains pays musulmans, les viols de femmes chrétiennes font partie de la vie quotidienne. Peu importe que dans de nombreux pays musulmans, les chrétiens soient considérés comme des citoyens de série C, s’ils ont de la chance.
Mais pourquoi le pape et la gauche se permettent-ils de dire des mensonges aussi colossaux ? C’est simple. Ils savent que les idiots les soutiendront toujours, quoi qu’il arrive. Il est inutile d’accuser uniquement les politiciens. Les véritables co-responsables de ces massacres sont les bergogliens et ceux qui votent pour ces politiciens.
Il me semble donc superflu de rappeler les responsabilités de Bergoglio. Il suffit de penser que ce dernier massacreur musulman est arrivé en Europe en débarquant dans cette Lampedusa où le chef (sic!) de l’Eglise a commencé à prêcher les portes ouvertes et à réprimander les catholiques qui ne pensaient pas comme lui. Après l’attentat dans l’église de Nice, il a déclaré que « le peuple français doit réagir au mal par le bien ». En septembre 2016, après le terrible massacre de Nice, il a dit « qu’à la haine réponde le dialogue ». Les mots sont répétés comme un disque rayé, tandis que les chrétiens continuent d’être tués dans les églises et dans les rues par les « malades mentaux » eux-mêmes.
Heureusement, les gens ne se laissent pas intimider. Ils réagiront avec fermeté en posant des peluches sur le sang des victimes, en sortant peut-être les T-shirts et les pancartes de ces occasions, avec l’inscription « Je suis ». Si en plus on entend rugir la chanson démentielle Imagine, alors nous pouvons dormir tranquilles.