Les vœux d’Agostino Nobile, un invité récurrent du blog de Marco Tosatti ne sont pas vraiment réjouissants, à l’image du monde qui nous entoure et du futur qui se profile, entre chasse à l’ « untore » (c’est-à-dire celui qui transmet la peste, cf. La chasse au bouc émissaire), vaccination obligatoire, catastrophe économique et son cortège de calamités. Tout ce qu’on peut espérer, c’est qu’il pèche par excès de pessimisme, mais ce n’est pas certain. Aux catholiques, en attendant, il reste pour les consoler le « doux Christ » , le fils de Dieu venu parmi nous, dont nous allons célébrer la naissance.

Saint Noël ou saint vaccin? Un avenir sombre

En décembre 1931, la société Coca-Cola popularisait le Père Noël potelé et vêtu de rouge, créé par l’illustrateur Haddon Sundblom. Ces dernières années, on nous a proposé des pères Noël aux cuisses longues et aux seins plus que proéminents. Avant la sécularisation de Noël, les chaînes de télévision ne manquaient pas de proposer des films consacrés à la naissance de Jésus-Christ ou à des thèmes religieux. Depuis quelques années déjà, divers gouvernements occidentaux tentent de déchristianiser le plus grand événement historique de l’humanité, en lui donnant des noms improbables, tels que la Fête des Lumières ou, tout simplement, la Fête des Fêtes.

Le saint Noël ne représente pas seulement la naissance du Fils de Dieu, il rappelle à l’humanité sa dignité. Sans le Christ, il n’y a pas de dignité, sans dignité, il n’y a pas d’homme.

Cette année, sous le couvert du Covid, ils ont imposé le lockdown pour terroriser, pour ensuite imposer le vaccin. Jamais dans l’histoire, autant de mensonges colossaux n’ont été répandus pour contraindre des millions d’êtres humains à la ségrégation. Les vrais infectiologues et virologues ont été réduits au silence, tandis que dans les grands médias du monde, on a mis en avant des individus aux compétences professionnelles douteuses. La vérité est réduite au silence à l’échelle planétaire. Des gouvernements et des journalistes corrompus, payés grassement par des magnats sans scrupules, ont pu étouffer deux des plus grands principes chrétiens : la Vérité et la Dignité.

Au cours des dernières décennies, le sens de Noël avait quelque peu disparu pour faire place à des repas pantagruéliques et, souvent, à un excès d’achats et de cadeaux. Après cette escalade digne de la fenêtre d’Overton, nous sommes arrivés au post-humanisme. On se souviendra de Noël 2020 comme de l’antichambre de l’enfer : pas de messe, pas d’embrassades, pas de réunions, pas de liberté de pensée, pas d’air frais. Est-ce un début ?

Une fois établi que Bergoglio est un traître au Christ, qui nous défendra ? Durant ces mois, j’ai pensé aux services secrets, qui sont censés protéger leur peuple contre les attaques internes et externes. Où sont-ils ? Les services secrets, les responsables de l’application des lois et de la défense n’ont-ils vraiment pas compris ce que des millions de personnes dans le monde savent depuis des mois ? Nous sommes face à une tromperie colossale aux fins inhumaines. Il suffit de dire que pendant huit ou neuf mois, l’AIFA [agence italienne de médicaments] a nié l’utilité de l’hydroxychloroquine. Entre-temps, 30 000 Italiens sont morts à cause de thérapies erronées. Dans 95 % des cas, le covid est guérissable et les malades peuvent être soignés à la maison.

Donc, si ceux qui devraient nous défendre ne sont pas une bande de simples d’esprit, ils collaborent avec les ennemis de l’humanité. Il suffit d’une recherche sur l’histoire des vaccins pour comprendre qu’ils doivent être testés pendant des années, car les effets, même mortels, pourraient se manifester à long terme.

Bientôt, il y aura une chasse à l’intouchable (l’untore). Ceux qui ne seront pas vaccinés seront traités comme des parias, n’auront pas le droit aux médicaments, à l’école pour les enfants, aux déplacements et à l’entrée dans les lieux publics. Des millions d’idiots utiles marginaliseront les personnes non vaccinées. Ce sera la plus grande catastrophe économique et sociale de l’histoire occidentale. Notre pauvreté sera l’arme principale de ceux qui veulent nous soumettre, et ils nous conduiront très probablement à la famine. Je ne suis pas un oiseau de mauvais augure, les révolutionnaires français ont utilisé la même technique pour s’imposer qu’aujourd’hui : l’effacement du Christ et la famine.

Les gouvernements nous tuent les uns après les autres. Alors réveillons-nous, et que ceux qui le peuvent s’organisent pour mettre fin à ce reset socio-économique avant qu’il ne soit trop tard. En attendant, consolons-nous avec le doux Christ.

Joyeux Noël, au moins dans nos cœurs.

Agostino Nobile

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