L’ex-président de la BCE, ex aussi de Goldman-Sachs, a été chargé par le président de la République italienne Sergio Matarella de former un nouveau gouvernement. Pour le meilleur, ou pour le pire? En tout cas, une nomination prévisible, sans consultation du peuple, ce qui semble désormais une habitude bien établie en Italie, et dont nous avions parlé dans ces pages dès la fin de l’été dernier, dans un article qu’il est intéressant de relire aujourd’hui.

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