et qui travaille à construire un monde fondamentalement anti-humain. Dans un long article, résumé ici par AM Valli, Robert Kennedy Jr explique comment Bill Gates est en train de devenir le plus grand propriétaire terrien des Etats-Unis, ajoutant ainsi le secteur alimentaire à un pouvoir monopolistique qui étend ses tentacules à la santé publique, l’éducation en ligne, les communications mondiales, la promotion des monnaies numériques, la surveillance, la collecte de données, l’intelligence artificielle, etc.

« Farmer Bill »

Robert F. Kennedy Jr : « Voilà comment fonctionne le néo-féodalisme mondial à la Bill Gates »

(www.aldomariavalli.it/, 9 mars 2021, ma traduction)

« Il est déconcertant pour moi de voir comment beaucoup de mes amis du mouvement écologiste ont accepté les plans dystopiques de Gates pour l’humanité. » Voilà ce qu’écrit l’avocat Robert F. Kennedy Jr, fils de Robert F. Kennedy et petit-fils de l’ancien président américain John F. Kennedy, dans un article consacré à la tentative de Bill Gates de monopoliser et de dominer la production alimentaire mondiale.

Kennedy avertit que, « pour cacher ses plans dystopiques pour l’humanité derrière des intentions bénignes, Gates utilise une rhétorique basée sur les concepts de durabilité, de biodiversité, de bonne gouvernance et de climat ». Mais ces causes apparemment nobles cachent « de sombres réalités qui menacent la vie de nos enfants et requièrent une attention urgente ».

L’article contient un certain nombre de liens documentant la « stratégie à long terme de Gates pour contrôler l’agriculture et la production alimentaire au niveau mondial ».

Kennedy énumère quelques points.

  • Gates a contribué à orchestrer et à encourager les lockdowns qui ont mis en faillite plus de 100 000 entreprises rien qu’aux États-Unis et plongé un milliard de personnes dans la pauvreté et dans une insécurité alimentaire qui, entre autres méfaits dévastateurs, tuent 10 000 enfants africains par mois tout en augmentant la richesse de Gate.
  • Il est devenu le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis. Le portefeuille de Gates comprend aujourd’hui approximativement 242 000 acres (soit 100 000 ha, ndt) de terres agricoles américaines et près de 27 000 acres (11000 ha) d’autres terres en Louisiane, en Arkansas, au Nebraska, en Arizona, en Floride, à Washington et dans 18 autres États.
  • Il a réalisé d’énormes investissements dans les cultures d’OGM, les brevets de semences, les aliments synthétiques et l’intelligence artificielle, y compris les ouvriers agricoles robotisés, et occupe des positions de leadership dans les géants de l’alimentation comme Coca-Cola, Unilever, Philip Morris (Kraft, General Foods), Kellogg’s, Procter & Gamble et Amazon ( Whole Foods) et dans les multinationales comme Monsanto et Bayer qui commercialisent des pesticides chimiques et des engrais pétrochimiques.
  • Il a imposé un système agricole basé sur les OGM, les produits chimiques et les combustibles fossiles aux agriculteurs africains pauvres, décimant la biodiversité et faisant en sorte que les sols deviennent plus acides à chaque application d’engrais pétrochimiques. Une étude a révélé que la faim extrême a augmenté de 30 % dans les 18 pays ciblés par Gates. La pauvreté rurale s’est considérablement aggravée et le nombre de personnes souffrant de la faim dans ces pays est passé à 131 millions.

Kennedy observe que, tout comme dans le cas des programmes de vaccination de Gates en Afrique, « il n’y a pas eu d’évaluation interne ou de responsabilité publique ».

Kennedy soutient également que la prise de pouvoir de Gates ne se limite pas à la production alimentaire. Il a cherché à dominer dans les domaines de la santé publique, de la privatisation des prisons, de l’éducation en ligne et des communications mondiales, en promouvant les monnaies numériques, la surveillance de haute technologie, les systèmes de collecte de données et l’intelligence artificielle.

En fin de compte, Gates a « appris comment devenir riche pendant les crises mondiales » et, en s’associant avec des entreprises comme Monsanto et en promouvant les OGM, il s’est engagé dans une « guerre chimique contre la santé humaine ».

L’article note également comment Gates a fait la promotion de fausses agences gouvernementales mondiales qu’il a créées « pour promouvoir ses diaboliques mélanges chimiques, médicaux et alimentaires ».

« Suivant l’exemple de Gates, GAVI [l’Alliance GAVI – anciennement l’Alliance mondiale pour les vaccins et l’immunisation] est une alliance d’entités publiques et privées qui vise à améliorer l’accès à la vaccination pour les populations des pays pauvres ; Parmi ses membres figurent les gouvernements des pays en développement et des pays donateurs, l’Organisation mondiale de la santé, l’Unicef, la Banque mondiale, l’industrie des vaccins dans les pays industriels et en développement, la Fondation Bill & Melinda Gates et d’autres bienfaiteurs privés, ndr] est confiante quant au fait que les insectes deviendront bientôt un complément alimentaire important pour les enfants pauvres et sous-alimentés », écrit Kennedy.

Kennedy parle également de la pression de l’élite mondiale pour un Great Reset afin « d’imposer des contrôles autoritaires, une surveillance omniprésente, de nouveaux modèles économiques oppressifs et un gouvernement mondial unique sur une humanité assiégée, terrifiée et soumise ».

Parce que Robert F. Kennedy Jr. a longtemps dénoncé ce programme planétaire fondamentalement anti-humain, il est sans cesse attaqué et vilipendé par les think tanks d’élite et les organisations mondialistes.

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