« Moi, prêtre catholique, je rappelle à tous : Il n’y a aucun devoir moral de recourir au vaccin contre le Covid-19 ». Une simple et belle lettre d’un prêtre, on aurait aimé qu’elle soit celle du pape (qui préfère aller annoncer la bonne nouvelle… sur le réchauffement climatique au prochain sommet de Glasgow). On n’y apprend rien de nouveau, mais il est bon de lire noir sur blanc, dans la bouche d’un pasteur, en une série d’arguments désormais consolidés, ces vérités dérangeantes que personne n’a le droit de dire.

Je viens vers vous en tant que prêtre catholique et en vertu de la mission qu’à travers l’Église, j’ai reçue du Seigneur lui-même. Un aspect central de cette mission est la défense de la vérité, en premier lieu celle révélée par Dieu, mais aussi, en second lieu, celle qui peut être connue par la raison. L’homme est fait pour un but surnaturel, pour lequel, toutefois, une gestion correcte de l’ordre naturel est également nécessaire. A cette fin, il est utile, sinon un devoir, de diffuser des connaissances objectives ; cela ne comporte aucune infraction au niveau du droit civil ni aucune désobéissance au niveau du droit canonique, puisqu’il ne s’agit de rien d’autre qu’un service au bien intégral des personnes.

Dans cette optique, je ressens un devoir impérieux de vous avertir que personne au monde ne peut vous obliger à recevoir un traitement médical, encore moins s’il est expérimental. L’autorisation d’utilisation n’équivaut pas à une approbation scientifique ou juridique, qui ne peut pas être donnée en l’absence de résultats expérimentaux. Les autorités gouvernementales n’ont donc pas le pouvoir d’imposer son administration par décret ; si elles le font, elles enfreignent la loi en vigueur, ainsi que la Constitution et les déclarations internationales en la matière, telles que celles d’Oviedo et de Nuremberg. Une telle procédure constitue un abus de pouvoir, d’autant plus injustifié qu’il repose sur des données erronées ou frauduleuses. Il est désormais bien établi que le test de l’écouvillon nasal n’est pas fiable et produit un nombre exorbitant de faux positifs.

Lorsqu’on a affaire à un virus qui mute constamment et qui n’est même pas complètement identifié, la vaccination n’est d’aucune utilité ; même si elle l’était, tout médecin sait parfaitement qu’on ne vaccine jamais une population en pleine épidémie, car cela rend le virus plus agressif, catalysant la formation de variants plus résistants. Cette stratégie est d’autant plus irrationnelle quand on sait qu’il existe toute une série de traitements peu coûteux et efficaces facilement disponibles ; dans la grande majorité des cas, la maladie de Covid-19, traitée à un stade précoce, peut très bien être guérie par un traitement à domicile. Le taux de létalité étant très faible et touchant presque exclusivement les personnes âgées déjà affectées de pathologies, la vaccination des jeunes et des enfants est une abomination intolérable.

Ces considérations ne servent manifestement pas les intérêts des géants pharmaceutiques et des grands fonds d’investissement qui ont parié sur l’opération Coronavirus. Ce n’est du reste pas la première fois que l’on crée des maladies en laboratoires pour en tirer profit ensuite. Mais nous, nous ne sommes pas préoccupés par les intérêts de l’oligarchie financière, mais par la santé physique et spirituelle des personnes. Pour cette raison, nous devons rappeler certains faits incontestables.

1) Les vaccins actuellement sur le marché ne sont pas des vaccins au sens traditionnel du terme, mais des produits de thérapie génique qui ne sont pas capables de prévenir l’infection, mais au contraire de la favoriser, et qui contiennent diverses substances nocives. La recrudescence soudaine de maladies graves chez des individus en bonne santé et les décès de personnes de tous âges auxquels nous assistons, bien que censurés par l’information officielle, doivent absolument être pris en considération par les autorités compétentes afin que le génocide en cours soit arrêté.

2) Les personnes asymptomatiques ne sont pas contagieuses et ne devraient pas être obligées de subir des tests répétés pour prouver leur bonne santé. En l’absence de symptômes, on suppose qu’une personne est en bonne santé ; on n’a jamais supposé a priori, sans aucun critère vérifiable, que les gens étaient malades, en les obligeant à prouver le contraire. Les porteurs sains d’un agent pathogène, s’ils ne le savent pas, n’ont aucune responsabilité civile ou morale jusqu’à ce que la maladie se manifeste ; à partir de ce moment-là, ils ont simplement le devoir de prendre des mesures de précaution raisonnables pour préserver la santé des autres.


3) Notre système immunitaire, convenablement renforcé par la consommation de substances appropriées dans le cadre d’un mode de vie sain, est doté de ressources extraordinaires et est normalement capable de neutraliser la plupart des agents pathogènes. Le vaccin contre la grippe, en revanche, l’affaiblit considérablement, à tel point qu’il est probablement responsable de la large diffusion du Covid-19 dans les régions où il était le plus utilisé. Il est désormais bien établi que l’immunité naturelle acquise par ceux qui se sont remis de l’infection est durable et complète, alors que ceux qui ont été vaccinés contractent la maladie beaucoup plus facilement.

Or, pour prendre une décision moralement bonne, il faut le jugement de la conscience droite et bien formée, qui est l’ultime instance de discernement à suivre. En appliquant les principes généraux aux cas particuliers, elle doit tenir compte de toutes les données disponibles. A la lumière de ce qui précède, il n’y a aucun devoir moral de recourir à la vaccination contre le Covid-19 ; le dire est une erreur manifeste et une grave violation de la conscience d’autrui. Quelles que soient les circonstances actuelles, en tout état de cause, aucun traitement préventif ne peut être considéré comme obligatoire, ni juridiquement ni éthiquement ; chacun est libre de se soigner ou de ne pas se soigner, d’effectuer une prophylaxie ou de ne pas le faire. Invoquer la charité chrétienne à cet égard n’a aucun sens, car la véritable charité ne peut être dissociée de la raison juste. Toute personne qui refuse de se faire vacciner ne met la vie de personne en danger.

Il serait en revanche du devoir des pasteurs de condamner la fabrication et l’utilisation de médicaments pour lesquels on a eu recours, au cours de la recherche, de la production ou des essais, à des lignées cellulaires obtenues à partir de fœtus humains avortés. Toutes les tentatives de justifier moralement une pratique aussi barbare sont coupables de formalisme intellectuel : en effet, elles se limitent à évaluer le degré de coopération de l’usager avec un petit nombre d’avortements qui ont eu lieu des décennies auparavant et considérés isolément, alors que l’on sait avec certitude qu’il existe une véritable industrie de l’avortement structurellement liée à l’industrie pharmaceutique. On ne peut fermer les yeux sur cette vérité qui fait froid dans le dos et qui est devenue publique grâce au témoignage d’opérateurs repentis du secteur.

La réalité indéniable est que la soi-disant vaccination est la fin – et donc partie intégrante – d’un processus qui présuppose la mort d’êtres humains à naître, alors qu’il n’est absolument pas admissible de sacrifier ne serait-ce qu’une vie pour procurer un bénéfice à d’autres, même s’il existe un danger grave et qu’il n’y a pas d’autres remèdes, et encore moins si ces conditions n’existent pas du tout et que le bénéfice est inexistant. Celui qui, sachant cela, accepte la vaccination coopère donc directement à l’avortement et en devient coresponsable, mais dans une mesure proportionnelle au degré de liberté de consentement. Le fait que l’utilisation de ces lignées cellulaires touche aujourd’hui de nombreux produits pharmaceutiques, alimentaires et cosmétiques ne le justifie pas pour autant, même s’il ne peut être reproché à ceux qui n’en savent rien avant d’en prendre connaissance.

Il convient de rappeler que si les autorités civiles n’ont pas le droit d’imposer un traitement sanitaire ou de restreindre la liberté de ceux qui le refusent, c’est encore moins le cas des autorités ecclésiastiques, dont le champ de compétence est tout autre. Un évêque ou un supérieur religieux qui impose la vaccination à ses ouailles ou empêche les personnes non vaccinées d’accéder aux installations relevant de sa juridiction commet un abus très grave ; s’il rejette une vocation pour cause de non-vaccination, il empêche l’accomplissement de la volonté de Dieu et devra en répondre devant Lui. Puisque l’Ordinaire, dans un tel cas, exerce une autorité qui dépasse ses pouvoirs, on n’est pas obligé de lui obéir, mais de lui résister ouvertement, au nom de la vérité et du bien. Les sanctions canoniques ne peuvent être imposées qu’en conformité avec le droit en vigueur ; dans le cas contraire, elles doivent être contestées. Les menaces et les intimidations n’obligent en rien la conscience et ne doivent impressionner personne.

Cependant, étant donné que nous sommes victimes d’une conspiration sans précédent entre des puissances disparates et que ceux qui devraient nous défendre semblent être alliés à l’ennemi, nous invoquons la protection du Ciel. À cette fin, il est essentiel de reconnaître à quel point nous nous sommes éloignés de la volonté divine dans tous les milieux, foulant aux pieds les commandements dans des domaines aussi graves que la vie, la sexualité et la famille. L’épreuve que nous traversons est un appel à la conversion et au repentir, sans lequel nous ne pourrons pas en sortir. Les forces en jeu dépassent les possibilités humaines ; par conséquent, bien qu’il soit légitime et conseillé de se mobiliser sous les formes autorisées, nous ne pouvons pas attendre de résultats positifs de notre action si nous ne retournons pas à Dieu, ne faisons pas pénitence pour nos péchés et n’implorons pas son aide dans la foi.

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