La foi pure qui rayonne dans ses yeux représente une menace pour la nouvelle Eglise voulue par François, qui prend forme très concrètement sous nos yeux, tout récemment avec le motu proprio qui veut tirer un trait sur la messe traditionnelle. Mais il témoigne que tout espoir n’est pas perdu. Une image de toute beauté, très émouvante, commentée sur le site Rorate Caeli et reprise sur le site italien Chiesa e Post Concilio, où je l’ai trouvée.

Source image: https://www.facebook.com

Lors de la messe pontificale célébrée dans la cathédrale-basilique des Saints Pierre et Paul de Philadelphie en la fête de l’Assomption, un tout petit garçon a été photographié au banc de communion. Ses yeux sont brillants d’attente : il a certainement été suffisamment instruit sur Notre Seigneur Jésus-Christ dans le Saint Sacrement.

Ce petit garçon est une menace. Il est une menace pour ce qu’il représente : la vie, la famille, la dévotion, toutes dédiées au Saint Sacrifice traditionnel de la Messe. Ce petit garçon est une menace pour le nouveau type d’Eglise souhaité par François, par ceux qui l’ont élu, par ceux qui sont proches de lui : il est une menace pour Antonio Spadaro (SJ), pour James Martin (SJ), pour toute la structure jésuite corrompue et hérétique qui mène l’Eglise à sa perte. Il est une menace, et c’est pourquoi François, dans Traditionis custodes, le fils intellectuel bâtard du ‘liturgiste’ Andrea Grillo, dit que cette Messe, la Messe des Ages, la Messe de tous les Ages, menace « l’unité » de l’Eglise.

Ce petit garçon – que Dieu le bénisse. Il triomphera, avec le Christ, et la Sainte Mère, et tous les anges et tous les saints. Ceux qui le considèrent comme une menace ont déjà perdu. La lutte est terminée, et nous ne voyons peut-être pas encore la victoire, mais elle est proche. Et ce petit garçon – que Dieu lui accorde une vie longue, saine et vertueuse – la verra.

Amen.

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