Vilipendé comme « no vax », charlatan, gourou, et j’en passe, traîné dans la boue par les médias, le descendant d’une des principales dynasties familiales du XXe siècle pourtant adulée en bloc par ces mêmes médias (d’où la question qui contient sa propre réponse: qu’a-t-il à gagner en se lançant dans cette croisade? il avait tout pour mener la vie tranquille d’un « jet setteur » ou d’un opinioniste mondain) était à Milan, où il a prononcé un important discours sur les vaccins, les falsifications de Pfizer et le Great Reset. Compte rendu du docteur Gulisano.

Des essais de Pfizer à la liberté, la leçon de Kennedy

Dr Paolo Gulisano
La NBQ
15 novembre 2021
Ma traduction

Dépeint comme no vax, Robert Kennedy Jr. a dit qu’il était seulement contre les « mauvais vaccins », c’est-à-dire ceux qui sont développés trop rapidement. Des essais de six mois à l’ « arnaque » du 100 % d’efficacité de Pfizer, en passant par le Great Reset, à l’Arche de la Paix de Milan, l’avocat américain a tenu un discours très clair sur la vérité et la liberté.

Pendant des années, Robert Francis Kennedy Jr. a été un membre de l’une des plus importantes dynasties familiales d’Amérique et du monde. Il était le troisième fils de Robert Kennedy, ministre de la Justice et candidat à la présidence des États-Unis en 1968, qui a été assassiné comme son oncle John F. Kennedy.

Diplômé de Harvard, avocat de profession, auteur de livres pour enfants et catholique, il milite depuis des années pour la liberté de vaccination et défend la cause de personnes qui ont subi des préjudices. Depuis le début de la pandémie à Covid, il s’est prononcé de manière résolue contre les récits officiels. Il est considéré comme l’anti-Bill Gates par excellence, c’est pourquoi la presse italienne l’a décrit comme « le gourou du mouvement no vax« . En réalité, l’avocat américain a tenu un discours très clair samedi lors de la grande réunion publique qui s’est tenue à l’Arco della Pace à Milan, en commençant par ses convictions sur les vaccins. « Beaucoup de gens disent que je suis contre les vaccins, mais je ne suis pas contre les vaccins. Je suis contre les mauvais vaccins », a-t-il affirmé. Et quels sont les mauvais vaccins selon Kennedy ? Des vaccins qui sont développés trop rapidement, en omettant des étapes clés de l’expérimentation scientifique normale.

Kennedy a expliqué pourquoi les essais de Pfizer n’ont duré que six mois, non pas en donnant sa propre interprétation, mais en citant mot pour mot les propres documents de Pfizer. Pfizer est la seule société disposant d’un vaccin approuvé aux États-Unis. Pfizer était censé mener un essai clinique de trois ans, mais l’a réduit à six mois. Elle a également administré le vaccin au groupe témoin. Mais pourquoi ont-ils mis fin à l’étude si rapidement, en six mois ? « Parce qu’ils se sont rendu compte, » a déclaré Kennedy, « qu’au bout de six mois, la protection des anticorps disparaît, ils ont donc dû réduire l’étude à six mois parce que le résultat n’était pas celui prévu. Ils ont ensuite pris toutes leurs études de ces six mois et les ont données à la FDA pour approbation ».

En examinant ces données, on peut voir combien de personnes sont mortes dans le groupe placebo et combien dans le groupe vacciné. Sur les 22 000 personnes du groupe vacciné, il n’y a eu qu’un seul décès dû au Covid pendant les six mois d’observation. Il y avait également 22 000 personnes dans le groupe placebo, composé de personnes qui n’avaient pas reçu le vrai vaccin, mais un placebo, et il y a eu deux décès au cours de la même période. Cela a permis à Pfizer de prétendre que le vaccin réduisait la mortalité de 100%, et ce parce que deux est 100% de plus qu’un. Selon Kennedy, la plupart des Américains, lorsqu’ils ont appris que le vaccin était efficace à 100 %, ont pensé que s’ils le faisaient, ils ne contracteraient jamais le Covid. En réalité, cela signifie qu’il faut administrer le vaccin à 22 000 personnes pour empêcher une personne de mourir. « Ce qui signifie qu’ils doivent s’assurer que le vaccin ne tue pas une seule personne, sinon toute leur documentation ne tiendrait pas debout », conclut le fondateur de Children’s Health Defense.

Kennedy a souligné que la plupart des gouvernements ne mettent pas en œuvre une bonne politique de santé publique. La santé publique est censée sauver des vies. A la place, nous assistons à des politiques visant à contrôler notre société et à contrôler les enfants. « Il n’y a qu’une seule raison pour laquelle les gens ne comprennent pas ce que je vous dis, c’est qu’ils sont manipulés par la peur ». Le fils de Bob Kennedy a ensuite évoqué d’autres exemples de gestion de l’épidémie aux États-Unis, rappelant qu’en mars 2020, Anthony Fauci – lui qui est vraiment une sorte de gourou de la réflexion sur les pandémies – avait soutenu que les masques étaient inutiles, avant de changer brusquement d’avis peu de temps après.

Kennedy a ensuite décrit le scénario du Great Reset, le grand bouleversement économique, social, politique et mondial qui a été déclenché par l’épidémie de Covid :

« Ils ont pris notre liberté d’expression, ils ont fermé les églises, ils ont annulé les poursuites contre les multinationales, sans considérer le bouclier pénal accordé aux responsables de ces crimes. Aux États-Unis, ils nous ont retiré le droit à la propriété, en fermant des millions d’entreprises, sans compensation équitable en retour. Ils nous ont retiré le droit d’être libre et le droit de ne pas être fouillé ou surveillé par le gouvernement. Aux États-Unis, tous ces droits sont énumérés dans notre Constitution. Qui gouverne à notre époque ? Et en plus de perdre l’un des droits les plus importants, le droit à la liberté d’expression, nous avons également perdu le droit d’élire nos représentants. Nous avons perdu le droit d’avoir la voix au chapitre dans les lois qui sont faites. Dans un passé pas si lointain, lorsqu’un gouvernement voulait proposer une nouvelle loi, il devait en discuter avec le peuple, après avoir fondé le processus sur des bases juridiques et scientifiques. La loi est devenue celle du plus fort, un seul homme décide et ses décisions deviennent loi ».

C’est une description exacte du nouvel ordre international qui prévoit la mise en œuvre de mesures liberticides au nom d’une sécurité sanitaire autoproclamée. Une grande leçon d’amour de la liberté, mais aussi de la vérité.

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