Le Pape allergique à l'Eucharistie


et qui refuse de s'agenouiller devant le Saint-Sacrement. Dernières preuves flagrantes relevées par Antonio Socci. Il faut vraiment être aveugle ou de mauvaise foi pour persister à dire que tout est normal (20/8/2016)

>>> A propos de la décision du Pape de ne pas se rendre au Congrès Eucharistique italien:
¤ Sainteté, s'il vous plaît, venez à Gênes ...
¤ Une première papale



A présent, Bergoglio se rend même au congrès de cardiologie,
mais il se refuse à aller au congrès eucharistique


www.antoniosocci.com
19/8/2016
Ma traduction

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La «nouvelle religion» bergoglienne assume des connotations de plus en plus claires. On peut les résumer ainsi: «occulter» l'Eucharistie et la Sainte Vierge et exalter les embrassades œcuméniques avec toutes les religions (Islam et protestantes d'abord, mais aussi la «religion New Age»).
Cela ressort aussi des choix de Bergoglio (il y a un «magistère» des gestes en plus de celui des mots qui déjà en soi - dans le cas bergoglien - est terriblement éloquent).
L'exemple le plus spectaculaire est son refus obstiné de prendre part au Congrès eucharistique national qui se tiendra à Gênes du 15 au 18 Septembre. C'est le premier pape du post-concile qui refuse de participer à cet important symposium de l'Eglise italienne dédié au Saint-Sacrement - source et sommet de la vie et la mission de l'Eglise catholique.

En compensation, hier, on a annoncé que le 31 Août, il se rendra à la Foire de Rome pour assister au Congrès mondial de cardiologie. Non pas que Bergoglio s'intéresse particulièrement à la cardiologie: le fait est qu'il se «désintéresse» visiblement du Congrès eucharistique, et veut le faire savoir.
Même les acclamations des médias dont il a tellement soif n'ont pas pu l'attirer à Gênes. Aussi parce qu'il peut les trouver (et les trouve) partout: y compris à un congrès de cardiologie, mais il serait même allé à un congrès de spécialistes de la vésicule biliaire: il suffit que ce soit un endroit où on ne parle pas d'eucharistie, ni ne fait l'adoration eucharistique à laquelle il est notoirement allergique (à ce propos, je rappelle son choix ostentatoire de ne pas s'agenouiller devant l'Eucharistie, même quand la liturgie le prescrit, alors qu'il s'agenouille en d'autres occasions où le Saint Sacrement est absent: par exemple, en tant que cardinal en 2006, lors de la rencontre avec les protestants, au stade Luna Park à Buenos Aires, au cours de laquelle - agenouillé - il se fit imposer les mains par des pasteurs pentecôtistes, cf. photo).

Du reste, justement pendant le Congrès eucharistique (le 19 Septembre ) Bergoglio se rendra à Assise pour participer à la célébration - organisée par la Communauté Sant'Egidio - du trentième anniversaire de la première rencontre œcuménique tenue dans cette ville. Il est significatif que ce soit l'imam de Perugia, Abdel Qader Moh'd, qui l'ait révélé. Donc, ce sera surtout une rencontre avec les musulmans.

Il est tout aussi emblématique que, pour la deuxième année consécutive, Bergoglio, le 15 Août ait aboli la messe solennelle du pape pour l'importante fête catholique de l'Assomption de la Vierge Marie au ciel .
Même pour 13 Octobre - 99e anniversaire de l'apparition de Fatima - il n'y a rien de prévu , mais le 30 Octobre il y a le voyage historique de Bergoglio en Suède pour célébrer Luther.

Il est significatif que l'un des piliers de la «révolution» de Luther - qui a dévasté l'Eglise et l'Europe - soit justement le rejet de l'Eucharistie catholique (et de la la messe) et le rejet de la vénération pour la Mère de Dieu et les Saints.

Le calendrier de Bergoglio va dans cette même direction. En effet, le 1er Septembre 2016 , à 17 heures, dans la basilique Saint-Pierre, Bergoglio présidera la célébration des Vêpres à l'occasion de la Journée mondiale de prière pour le soin de la création .

Ainsi, pour la première fois dans l'histoire de l'Eglise, les Premières Vêpres - qui sont une liturgie dont le culte, comme nous le savons, est rendu seulement à Dieu, ensuite à la Mère de Dieu, lors des Solennités, puis aux Saints dans leurs solennités ou en des occasions spécifiques - sont dédiées à «quelque chose» qui n'est pas un «Quelqu'un», et surtout à une forme d'environnementalisme au parfum New Age.

A présent, on comprend beaucoup plus clairement que la déclaration «il n'y a pas un Dieu catholique» que Bergoglio a faite dans la célèbre interview avec Scalfari du 1er Octobre 2013, ne doit absolument rien au hasard, ce n'était pas un malentendu, ou une gaffe, mais cela correspondait exactement à un projet d'annihilation et d'effacement du catholicisme .

Ce qui prend forme avec le pontificat de Bergoglio, c'est une nouvelle religion. Qui n'est pas catholique. J'ai à plusieurs reprises lancé l'alarme pour cette déclaration sensationnelle et inquiétante, mais j'ai été rabroué, j'ai reçu les insultes et les railleries des «normalistes», ceux qui depuis trois ans répètent que tout va bien ...

En fait, tout va tellement bien qu'étape par étape, nous sommes désormais arrivés à l'abîme.