C’est la énième variation sur le thème, mais face au martèlement médiatique il devient de plus en plus urgent de se poser les questions: pourquoi? et à qui profite le crime? Autre question: est-on sûr que ce sont les vaccins (et pas le radoucissement des températures, comme cela s’est vérifié l’an dernier) qui sont à l’origine de la baisse des contaminations. Une réflexion de Paolo Deotto (que mes lecteurs connaissent), reprise par Marco Tosatti.

« Vaccinons le monde ». Mais quelle belle vie d’esclaves nous attend!

C’est dans une ambiance festive digne de « Embrassons nous Folleville » que se déroule à Rome le Global Health Summit, le rendez-vous de plus de 20 pays européens, où les chefs d’État et de gouvernement et l’UE parlent entre eux pour se dire à quel point ils ont été bons.

Le message le plus significatif est venu de notre Premier ministre : « Vaccinons le monde, nous devons dépasser les frontières« .

Bref, si je comprends bien, après une épidémie de grippe à propos de laquelle on a honteusement manipulé les données sur les contagions et les décès, après avoir fait des choix peu judicieux (comme l’ « attente vigilante »…), après avoir subrepticement rendu obligatoire un vaccin dont on sait peu de choses, voilà que les plans de « lorsignori » [ces messieurs-dames] prennent une dimension universelle :

« Vaccinons le monde ».

Du reste, Madame Ursula von der Leyen nous l’a dit, nous devons nous préparer aux futures pandémies. Lesquelles ? On ne le sait pas encore, mais ne nous inquiétons pas.

On peut toujours trouver un virus ou une autre diablerie. L’expérience sociale a si bien réussi, que désormais lorsignori sont impatients de surfer sur la vague : on peut toujours trouver une raison de terroriser les gens et ensuite, ayant en main la plupart des médias, la grippe la plus banale qui arrivera l’automne prochain peut facilement devenir une calamité monstrueuse permettant de resserrer toujours plus les menottes qu’ils nous ont déjà mises.

Les médecins honnêtes existent, bien sûr, mais ils sont ignorés, ou réduits au silence (il est si facile de fermer une chaîne YouTube ou une page Facebook) ou même bloqués dans leur profession, avec le chantage du vaccin, qui n’est pas obligatoire, mais qui l’est parce que si vous ne le faites pas, vous ne travaillez plus.

Les journalistes honnêtes existent aussi, même si, je regrette de le dire, ils ne sont pas très nombreux… mais même eux, il est si facile de les faire taire. Aujourd’hui, la plupart des communications passent par internet, un système très facile à contrôler.

« Vaccinons le monde », « Préparons-nous aux futures pandémies ».

La perspective est celle d’une vie d’esclaves, contrôlés en leur inculquant la terreur de la maladie mortelle (mais, soit dit en passant, les gens se souviennent-ils que nous mourrons tous tôt ou tard ?), obéissant aux ordres dans le silence et la discipline. Quand sortir, quand entrer, quand travailler….

Et puis, la campagne pour le vaccin est tellement martelée et continue que cela indique déjà clairement que quelque chose ne va pas.

Pourquoi cette fureur à vouloir vacciner tout le monde le plus vite possible? Au-delà des intérêts économiques évidents de l’industrie pharmaceutique, quel est le but réel de cette campagne de vaccination obsessionnelle, avec des produits qui sont encore en phase expérimentale?

Pourquoi n’écoutons-nous pas ou n’accordons-nous pas d’espace aux nombreux scientifiques qui ont dit que la vaccination de masse ne se fait pas pendant une épidémie?

Questions évidemment sans réponse.

Depuis quinze mois, une grande partie du monde a changé, nous ne vivons et ne travaillons – quand on peut travailler – que sur la base d’une « pandémie » dans laquelle la falsification, le faux, les non-dits, étaient la constante.

Ce que font les médecins et les journalistes honnêtes n’est absolument pas suffisant. Ils sont une minorité et ils sont marginalisés.

Les gens doivent se réveiller, se rebeller vraiment, arrêter de se promener avec une muselière, ou un masque si vous préférez, pour se conformer à des règles absurdes et illégitimes. Si nous avions un millier de personnes comme Madame Rosanna Spatari, propriétaire de la « Torteria » de Chivasso (ndt: suite à l’obligation de fermer sa sandwicherie dans la banlieue de Turin, celle-ci se bat contre l’administration, cf. ICI), les choses pourraient commencer à changer. Et ces mille personnes seraient un exemple et en attireraient mille autres. Et ainsi de suite.

Mais tant que Mme Rosanna Spatari restera seule et que tous les autres se contenteront de grogner et d’obéir malgré tout, notre avenir sera celui déjà esquissé par Mme Ursula von der Leyen : « Préparons-nous aux prochaines pandémies ». Et quel est le problème ? Il suffit de « vacciner le monde ». Draghi l’a dit…

Une petite note pour conclure, et pour mieux comprendre ce que nous perdons autour de nous : l’année dernière, exactement à cette époque, les restrictions ont été assouplies, car, comme même le chat le sait, l’arrivée du temps chaud chasse la grippe saisonnière. Et en fait, l’année dernière, à cette époque, le nombre d’infectés, de morts, etc. était en baisse. Pourquoi le même phénomène se produirait-il cette année, c’est-à-dire moins d’infections, moins de décès, etc., grâce aux vaccinations de masse ?

Réveillons-nous.

Mots Clés :
Share This