C’est un jeune prêtre qui écrit à AM Valli, et ses réflexions sont particulièrement bienvenues au moment où la propagande occupe les ondes, les images et les blogs… H24. Et l’Euro de foot est un nouveau prétexte, y compris en intimidant les joueurs (en attendant le Tour de France? Les coureurs vont-ils être enjoints d’arborer un brassard arc-en-ciel?) N’est-il pas temps, pour les braves gens de réagir enfin et de dénoncer la confusion obscène, transformée en procès permanent, entre le refus d’une idéologie, et la discrimination (inexistante) envers les personnes?

L’offensive homosexualiste et nous:

le moment n’est-il pas venu de réagir?

Cher Aldo Maria,

hier, je suis allé dire bonjour à mes parents et j’ai allumé la télévision. Par choix, je ne l’ai pas au presbytère et cela fait donc quelques mois que je ne l’ai pas regardé. Je dois dire que je suis surpris de voir à quel point on parvient toujours à faire pire. Outre les montagnes de silicone qui pourraient se former rien qu’en faisant fondre les visages des différents VIP, j’ai été frappé par la puissance écrasante de la propagande homosexualiste. J’avais l’impression d’être en guerre : dans chaque programme, des références continues à ce monde, notamment dans les studios de sport à l’occasion du championnat européen de football.

je suis allé dire bonjour à mes parents et j’ai allumé la télévision. Par choix, je n’en ai pas au presbytère et cela fait donc quelques mois que je ne l’ai pas regardé. Je dois dire que je suis surpris de voir à quel point on parvient toujours à faire pire. Outre les montagnes de silicone qui pourraient se former rien qu’en faisant fondre les visages des différents VIP, j’ai été frappé par la puissance écrasante de la propagande homosexualiste. J’avais l’impression d’être en guerre : dans chaque programme, des références continues à ce monde, notamment dans les studios de sport à l’occasion du championnat européen de football.

Il est clair que nous sommes face à quelque chose qui n’est pas normal, mais pathologique : l’action de la propagande LGBT, devenue LGBTQ et je ne sais quoi d’autre, est à l’image et à la ressemblance du péché dont ces gens sont fiers : répété, illimité, tendant à occuper tous les espaces disponibles.

Nous sommes confrontés à une forme d’hystérie compulsive qui veut nécessairement tout et qui a donc tendance à être omniprésente et omnisciente. Il ne peut y avoir aucun espace laissé aux autres : sports, cinéma, école, jouets, objets ménagers, institutions politiques, restaurants avec des badges arc-en-ciel gay friendly, journées ad hoc, même plages inclusives, persécution de toute voix alternative jusqu’à ce qu’elle s’éteigne derrière des accusations calomnieuses.

Il me semble que même un aveugle et un sourd peuvent comprendre qu’il ne s’agit plus de défendre des personnes au comportement homosexuel contre d’éventuelles agressions, mais nous avons affaire à une véritable colonisation idéologique, qui par le biais d’une propagande universelle vise à spolier les consciences de tous, notamment des plus jeunes qui n’ont pas les outils pour se défendre. C’est pourquoi je crois que la seule loi de la civilisation n’est pas la loi ZAN (ndt: voir note de bas de page ICI), mais celle votée par le Parlement hongrois. Une loi de simple bon sens qui passe pour une loi nazie. Ecoutez le principe incriminé :  » Afin d’assurer la protection des droits de l’enfant, la pornographie et les contenus présentant la sexualité comme une fin en soi ou promouvant la déviation de l’identité sexuelle, le changement de sexe et l’homosexualité ne devraient pas être mis à la disposition des personnes de moins de dix-huit ans (…) Les cours d’éducation sexuelle ne devraient pas viser à promouvoir la ségrégation des sexes, le changement de sexe ou l’homosexualité « .

Cela ressemble à l’abc d’une civilisation, pour moi. Pourtant, des cris de rage se sont élevés, de la quasi-totalité de l’UE, qui est allée jusqu’à lancer un ultimatum à la Hongrie : « Soit vous changez la loi, soit vous êtes virés ! Incompatible avec les valeurs de l’Europe ».

Essayons de jouer à un petit jeu, en inversant le texte de la loi hongroise, pour voir quelles sont ces glorieuses valeurs européennes.

« Afin de garantir la protection des droits de l’enfant, la pornographie et les contenus présentant la sexualité comme une fin en soi ou promouvant la déviation de l’identité sexuelle, le changement de sexe et l’homosexualité doivent être mis à la disposition des personnes de moins de dix-huit ans (…) Les cours d’éducation sexuelle doivent viser à promouvoir la ségrégation des sexes, le changement de sexe ou l’homosexualité. »

Eh bien! Voilà le visage de l’Union européenne !

C’est ce à quoi nous sommes arrivés. Comment un État peut-il se permettre d’être traité comme une plate-forme aux mains de l’idéologie homosexualiste et sexiste ? Comment pouvons-nous ne pas remarquer le poison de l’inimitié que le monde LGBT insère partout où il va? Comment ne pas remarquer les dégâts que ces théories font sur les plus jeunes, seuls, désorientés, sans grands exemples, enfermés dans leur monde en forme de smartphone ? Comment ne pas remarquer que derrière tout cela, il ne peut y avoir que lui, le père du mensonge ?

Désormais, il n’est même plus possible de s’asseoir sur le fauteuil à la maison et de boire une bière en toute tranquillité devant un match de football sans avoir à subir leurs leçons de civilité : stade éclairé aux couleurs de l’arc-en-ciel, joueurs s’agenouillant en solidarité avec les noirs racistes de Black Lives Matter, transformation du match entre l’Allemagne et la Hongrie en un affrontement UE – nazisme. Pendant que j’écris ces lignes, on apprend également que le Parlement européen a approuvé le rapport Matic, qui reconnaît pour la première fois l’avortement comme un « droit humain ». Mesdames et messieurs, nous ne devons pas nous faire d’illusions : c’est l’Europe, un continent à la dérive, sans aucune référence à ce qui est vrai, bon et beau, une Europe furieusement anti-chrétienne, prête à émettre des lois toujours plus motivées par la volonté de nous faire taire, pour toujours.

Cher Aldo Maria, n’est-il pas temps de réagir ? Témoigner devant la fureur du monde de la douce parole du Christ, qui révèle l’homme à l’homme et lui fait connaître sa plus haute vocation ?

« Le Jeune Prêtre »

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