Nous avons parlé ce matin des étranges amnésies de François, répondant aux questions de la vaticaniste de l’AP Nicole Winfield. Pour résumer, il est blanc comme neige, il n’était au courant de rien, et il a vécu avec « douleur » et stupéfaction la découverte des turpitudes de son confrère jésuite. Le pire est que l’ensemble des médias s’est rué tête baissée sur le scoop du jour « Pour François, l’homosexualité n’est pas un crime », laissant ainsi entendre qu’AVANT (lire: sous Benoît XVI et Jean-Paul II), c’en était un! Pas un mot, par contre (sauf exception, et en filigrane très discret) sur sa gestion de l’affaire Rupnik. Misère de l’information (et c’est la chance de François).
Mais le Pape n’est pas novice dans ce petit jeu d’auto-justification passant par la négation pure et simple de son implication. Il y a un an, AM Valli proposait un article éclairant que je crois utile de reprendre ici:


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(*) Je me suis censurée, par respect pour la charge. Mais j’aurais pu utiliser un autre terme…

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