En marge de l’assassinat de Philippine. C’est le mot qui m’est venu spontanément à l’esprit. Je pense aux réactions de la famille. Pas de cris, pas de déclarations-choc (je ne juge pas, je constate) devant les caméras; pas de revendications, pas de marches blanches ni de petites bougies allumées et de nounours déposés devant un mur. Même pas la classique injonction « stop à la récupération ».
.
Mais une simple veillée de prières, (les médias à l’affût parlent d’une centaine de personnes présentes) et demain, la messe d’obsèques, dans sa paroisse.
Et ce sobre billet du curé de la paroisse, l’abbé Grosjean (« Padre blog »)