L’agonie de la présidence Macron n’en finit pas, il est temps de débrancher le malade en phase terminale – clin d’oeil sinistre du destin alors que l’une des dernières (en date) de ses mauvaises actions serait de légaliser l’euthanasie. Il est en train d’être lâché par ses commanditaires (et non pas par les « médias » comme le disent les naïfs qui ignorent que lesdits médias ne sont que la devanture et le bras armé de ces « pouvoirs forts » qui agissent plus ou moins dans l’ombre pour influencer l’opinion et contourner la volonté populaire et que d’autres – les complotistes – appellent « le système »).
Pointer du doigt les problèmes psychiatriques du « président-Jupiter », dont nous avons déjà parlé à plusieurs reprises dans ces pages, n’est qu’un leurre, pour détourner l’attention du vrai scandale, qui est la responsabilité écrasante de ces commanditaires (au premier rang, Alain Minc qui dans l’Express parle de « pire président que la France ait eu »).
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En d’autres circonstances, j’aurais trouvé réjouissantes ces couvertures de magazines qui ont « fait » Macron (à mettre en perspective avec les couvertures de 2017), mais la situation, aussi grave que lourde de menaces ne prête pas à sourire…
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En bonus, le psychopathe M***on, vu par un psy italien. Reprise.
Couvertures de cette semaine
Naviguant hier sur mon blog (!!! eh oui, on n’est jamais si bien servi que par soi-même) j’ai parcouru les nombreux articles que j’avais publiés à l’occasion de ses deux élections (2017 et 2022).
Parmi eux, j’en retiens un, qui pourrait contribuer à ouvrir les yeux des aveugles qui persistent à croire que LA CROIX est un journal catholique.
L’auteur est Luca Volontè, chroniqueur de la NBQ, qui, le 22 avril 2022, au lendemain du débat d’entre deux tours avec Marie Le Pen, passait en revue les réactions des médias conservateurs (ou présumé tels) français. Voici le passage relatif à LA CROIX.
Disons qu’avec de tels guides, les catholiques français sont mal partis…
A noter: Jérôme Chapuis a dirigé la rédaction de La Croix de 2021 à 2023. En septembre 2023, il est passé aux commandes de la matinale de France Info.
No comment.
Le monde catholique reste divisé et, pour la première fois, le quotidien catholique [il vaudrait mieux écrire « catholique », avec des guillemets. Ce journal doit urgemment changer de titre, je suggère « L’équerre et le compas », ou « L’oeil »] La Croix prend position et appelle à voter pour Macron. L’éditorial du rédacteur en chef Jérôme Chapuis, en première page du jeudi 21 avril, est embarrassant tant par son ton que par son contenu et totalement inconcevable pour quelqu’un dont la boussole devrait être la Doctrine sociale de l’Église et les principes non négociables, tant tournés en dérision et violés par Macron lui-même. Derrière le masque du réalisme « lucide », de la « lucidité » urgente et des fantasmes des dangers d’une Le Pen « poutinienne et trumpienne », La Croix prend parti:
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« Il faut l’accepter : la réélection du sortant (Macron)… reste, à nos yeux, la seule option envisageable. Pour notre journal, cela signifie assumer un désaccord avec une partie de ses lecteurs. Sans autre ambition que d’affirmer des valeurs importantes pour la vie de la société et de servir le débat public avec honnêteté. »
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Une « honnêteté » qui censure à la racine tout bilan de la destruction de la vie humaine, de la liberté d’enseignement et du bien des familles menée par Macron durant ses années de mandat.
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La Croix reprend en fait à son compte tous les désirs exprimés sur un ton polémique par la franc-maçonnerie française dans l’éditorial du Monde du 20 avril, qui attaque l’Église de France pour ne pas avoir pris une position forte contre Le Pen et en faveur de Macron, étant donné que « l’Eglise catholique n’hésite pas à faire connaître et à défendre ses avis tranchés sur des sujets comme le mariage homosexuel, la gestation pour autrui ou l’euthanasie. Qu’elle ne le fasse pas clairement à un moment crucial où pourraient être remises en cause les valeurs d’égalité, de respect et de tolérance qui fondent notre société serait incompréhensible. »
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Les valeurs désincarnées de la République (et de l’Europe) passeraient avant les principes non négociables, le catéchisme et même les droits humains que sont la dignité humaine, la société familiale naturelle, la liberté de culte et d’éducation… et à cet autel, l’Église et les catholiques sont priés de s’agenouiller.
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La Croix l’a fait.
Il serait dommage de clore cette brève revue pour replacer un article qui va finir par devenir un marronnier de ce site: le fameux portait de Macron par un psychiatre italien:
Et enfin, pour sourire un peu (mais c’est bien trop gentil!!)
Le forcené de l’Elysée
Glané sur internet (je ne sais plus où)