La campagne de vaccination massive n’arrête pas la contagion, comme le montre l’explosion du nombre de cas en Grande Bretagne et en Israël, pays présentés pourtant comme les « bons élèves » dans la course à l’injection magique. Leur exemple (soigneusement « maquillé » par les médias, qui y voient l’occasion de marteler que nous n’en avons pas fini avec le covid et qu’il faut donc… se faire vacciner!) représente en fait le coup de grâce à la théorie de l’immunité collective que permettrait d’atteindre le vaccin. Sans compter que l’existence de variants nécessite une réflexion sur leur origine, et en particulier sur la relation avec les vaccins. Explications du Dr Gulisano.

Dans l’État hébreu, 40% des cas de Delta ont été vaccinés avec deux doses de Pfizer.

Si Israël a été jusqu’à présent le laboratoire du monde pour mesurer l’efficacité de la campagne de vaccination, il peut maintenant le devenir pour examiner une autre question : qu’en est-il de l’effet de l’immunité de groupe ? Et maintenant, comment les personnes qui se croyaient à l’abri parce qu’elles avaient été vaccinées vont-elles se comporter lorsqu’il apparaîtra que le virus pourrait franchir le soi-disant bouclier vaccinal ?

Le variant Delta met à nu les failles de la vaccination

Dr Paolo Gulisano
La NBQ
3 juin 2021
Ma traduction

En Israël ou en Grande-Bretagne, les cas de variant Delta sont maintenant de 15 000 par jour et montrent que les décès sont limités, mais ce chiffre représente le coup de grâce à la théorie de l’immunité collective : la campagne de vaccination massive n’arrête pas les contagions. Le vaccin peut représenter un avantage individuel et personnel pour la personne vaccinée, mais pas pour les autres. Au contraire, il est possible que ces personnes asymptomatiques deviennent des propagateurs du virus. Pourtant, même face à ces preuves, les indications gouvernementales restent inchangées, poursuivant le mythe de la vaccination globale et totale.

Ces derniers jours, les professionnels de l’alarme procurée ont un nouvel outil pour alimenter la peur, dans une phase très délicate de la pandémie, l’été, une période où les températures jouent toutes contre le virus. L’année dernière à la même époque, les morts se comptaient sur les doigts d’une main, à tel point que le directeur du Spallanzani [grand hôpital de Rome spécialisé dans les maladies infectieuses] a dû admettre qu’il y avait de grandes difficultés à réaliser des essais de vaccins, faute de cas de Covid.

L’été a même apporté un peu plus d’optimisme, le désir de normalité, et cela semble agacer terriblement les Cassandre de l’urgence permanente. Ainsi, en plus d’annoncer des catastrophes à venir avec l’automne, un puissant outil anxiogène a été trouvé dans les variants du virus, en particulier le variant dit Delta, qui n’est autre que le variant indien dont le nom a été changé pour des raisons de politiquement correct.

La question des variants du Covid se pose depuis mars 2020. Il s’agit d’un virus qui a la particularité de muter depuis sa création, et il y a déjà eu plusieurs dizaines de mutations.

Cependant, tout en présentant des caractéristiques différentes en matière de contagiosité et de propagation plus rapide, la pathogénicité de ces variants ne semble pas différente de celle du Covid-19 d’origine. Et surtout, ces variants peuvent être traités avec les mêmes modalités et les mêmes médicaments utilisés depuis plus d’un an maintenant. Un fait confirmé par les médecins des soins à domicile que nous avons contactés. Des anti-inflammatoires aux compléments alimentaires, de l’Ivermectine à l’Hydroxychloroquine, les syndromes du variant Delta répondent très bien, comme toujours, aux soins précoces à domicile. Si, au contraire, la « gestion » des patients Covid est confiée à l’habituelle Tachipirine avec attente annexe, il est clair que le variant Delta a le champ libre habituel pour faire des dégâts, y compris graves.

Cependant, l’existence de variants nécessite une réflexion sur leur origine, et en particulier sur la relation avec les vaccins.

Un chiffre impressionnant provient de l’un des pays où le taux de vaccination est le plus élevé, et où le variant Delta se propage de manière inquiétante, à savoir Israël. Dans l’État hébreu, en effet, 40% des cas de Delta ont été vaccinés avec deux doses de Pfizer.

Un chiffre qui ne peut que susciter des interrogations sur l’efficacité des préparations annoncés cette année comme la solution au problème du Covid. Si Israël a été jusqu’à présent le laboratoire du monde pour mesurer l’efficacité de la campagne de vaccination, il peut maintenant le devenir pour examiner une autre question : qu’en est-il de l’effet de l’immunité de groupe ? Et maintenant, comment les personnes qui se croyaient à l’abri parce qu’elles avaient été vaccinées vont-elles se comporter lorsqu’il apparaîtra que le virus pourrait franchir le soi-disant bouclier vaccinal ?

Une situation qui a également été prise en considération par un célèbre microbiologiste le Professeur Crisanti, à qui il arrive d’adopter une position critique à l’égard de l’establishment. Le variant Delta est une de ces occasions. Crisanti a déclaré que la probabilité qu’un variant émerge est directement proportionnelle au niveau de transmission. Si l’on ajoute la vaccination à ces données, on crée la situation dans laquelle des variants résistants au vaccin sont sélectionnés. Et le professeur de Padoue a également rappelé l’une des règles fondamentales de l’immunologie, soulignée à plusieurs reprises par des voix hors du chœur, systématiquement réduites au silence : il ne faut pas vacciner lorsqu’il y a des niveaux élevés de transmission d’un virus. Plus la multiplication virale est importante, plus la probabilité est grande que les variants augmentent, et en particulier qu’un variant résistante au vaccin apparaisse. En substance, il ne faut pas vacciner en présence de variants.

Une indication dont nous savons pertinemment qu’elle n’a pas été prise en compte, avec les conséquences que l’on connaît dans les pays les plus vaccinés, comme Israël ou la Grande-Bretagne, où les cas de variant Delta sont désormais de 15 000 par jour. Bien sûr, les décès sont proportionnellement contenus, mais ce chiffre représente le coup de grâce à la théorie de l’immunité collective : la campagne de vaccination massive n’arrête pas les contagions. Le vaccin peut représenter un avantage individuel et personnel pour la personne vaccinée, mais pas pour les autres. Et même, il est possible que ces personnes asymptomatiques deviennent diffuseurs du virus

Et pourtant, même face à de telles évidences, les directives gouvernementales continuent à ne pas changer, à poursuivre le mythe de la vaccination mondiale, totale. Une fois de plus émerge avec force l’urgence de freiner au maximum la progression du « vaccinons » au moins en empêchant que l’on descende en dessous de l’âge de douze ans, une limite qui devrait être considérée infranchissable, notamment pour éviter que justement parmi les enfants puissent être sélectionnées – à cause des vaccins – des variants plus nombreux, encore plus dangereux que les actuels.

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