Pour les Italiens, le grand poète Dante Alighieri (1265-1321), certainement l’une des figures majeures de la littérature mondiale avec Shakespeare, est une référence culturelle incontournable. Dans sa Divine Comédie, il a imaginé un Enfer divisé en neuf zones circulaires concentriques, que l’imaginaire collectif connaît sous le nom des « cercles de l’Enfer ». Selon Agostino Nobile, les journalistes devraient se retrouver (un jour…) parmi les fraudeurs dans le dernier cercle (pas sûr qu’il suffirait). Personnellement, je n’ai rien contre – et ce n’est pas un hate speech, puisque les journalistes ne croient pas à l’enfer!
L’enfer de Dante s’ouvre pour les journalistes italiens, mais pas seulement
Il est difficile de déterminer le pourcentage de journalistes corrompus, mais d’après ce que nous avons vu pendant les quatre années de la présidence Trump, il devrait approcher les 99%. Ainsi, l’élection présidentielle américaine, à supposer qu’elle ait été limpide, a été fortement entachée par une information mondiale à 99% anti-Trump.
Si Dante était vivant, je suis sûr que dans le neuvième et dernier cercle de l’enfer, parmi les fraudeurs, il aurait ajouté des journalistes corrompus. Compte tenu du tort qu’ils font à la liberté et à la dignité humaine, nous pouvons les considérer comme les bourreaux de notre société. Ce sont eux qui ont remporté les élections américaines, et certainement pas les sordides China Biden et Kamala Harris, qui, avec Nancy Pelosi, représentent deux des femmes les plus immorales et les plus menteuses de l’histoire américaine.
Brr…
Personne plus qu’elles ne soutient l’avortement et ne fait pression pour légaliser l’avortement après la naissance, c’est-à-dire le meurtre d’innocents après la naissance. Ce crime suffirait pour se retrouver dans le dernier cercle imaginé par le poète florentin. Ce qui n’est pas si imaginaire, puisque l’enfer a été décrit par les grands mystiques qui ont eu, disons, pas mal de combats avec le diable.
Mais les deux « sorcières », tout comme China Biden, veulent également effacer la figure de l’homme et de la femme. Elles trouvent scandaleuses les définitions de père et de mère, de fils et de petit-fils. Les grands-parents vont disparaître à jamais grâce à l’euthanasie, qui est censée devenir obligatoire vers l’âge de soixante-dix ans. A moins qu’une maladie ne survienne avant.
L’amorphe Biden a dû dire qu’un enfant de huit ans devrait être libre de choisir son orientation sexuelle. Pour les incrédules, je recommande cette très courte vidéo
Ajoutez à cela le fait que les nouveaux occupants de la Maison Blanche sont soutenus avant tout par Xi Jinping, par les seules entreprises qui ont augmenté leurs profits grâce aux mesures de lockdown, par Google, Facebook, Twitter et, surtout, par la multinationale de gestion d’investissements BlackRock, la société la plus puissante et la plus riche au monde qui, depuis sa création en 1988, pille le monde et enrichit les riches.
Les journalistes corrompus sont-ils conscients de ces faits que les sains d’esprit ne peuvent pas considérer comme de petits détails ?
Pour ma part, je suis conscient qu’en lisant les lignes sur l’enfer, quelque prétentieux qui se croit plus éclairé que les croyants pourrait se payer une bonne tranche de rire. Dans ce cas, si cela ne le dégoûte pas trop, je lui recommande de lire, par exemple, la vie de Saint Padre Pio. Il n’est qu’un des nombreux saints tourmentés par le Malin, celui qui entraîne dans sa demeure les traîtres, les corrompus, les menteurs et les meurtriers.
Selon les paramètres humains de tous les temps et de toutes les cultures, les calomniateurs font partie du type humain le plus méprisable sur terre.
Mais chez nous, qui sont-ils ? Il suffit de regarder les journaux et les chaînes de télévision diabolisant Trump, le seul président anti-avortement depuis la loi pro-choice de 1973.
Le seul qui a renoncé aux guerres et a mis en place la paix entre Israël et les pays arabes. Quant aux réalisations sociales et économiques de The Donald’s, méthodiquement occultées par les médias, je vous suggère le court article publié sur ce site [traduit en français ici: La longue liste des succès de Donald Trump]
Les corrupteurs de médias sont si nombreux que le père de la langue italienne aurait dû ajouter pas mal de pages à sa Commedia. Mais, comme dans le cas des quatre zones du Cocyte où Dante condamne entre autres le fratricide Caïn et le traître Judas, peut-être n’utiliserait-il que quelques représentants de l’infâme classe.
Il est de toute façon certain que leurs mensonges et leurs vérités non dites, qui visent à tromper des millions d’électeurs, conduisent des millions d’êtres humains au désespoir. Pas étonnant, donc, que Dante leur ait réésevé le cercle le plus inhospitalier.