qui gâche malheureusement un « moment de grande joie et sainteté » (c’est ainsi que je l’ai moi-même perçu – le moment, pas l’homélie). Parole de Rod Dreher (*), qui publie par ailleurs sur son compte twitter de belles images des délégations bavaroises, fidèles au rendez-vous et fiers de leur Pape.


J’étais aux funérailles de Benoît XVI aujourd’hui. C’était une occasion de grande joie et de sainteté, entachée seulement par la misérable homélie du pape François.


Homélie épouvantable du Pape François aux funérailles de #BenedictXVI ! Je ne peux pas croire ce que je viens d’entendre. Pas un mot sur l’immense héritage de BXVI. En fait, il a à peine mentionné l’homme, sauf brièvement à la fin, pour dire « Au revoir ! ». Quel acte honteux. Un signe d’immense manque de respect. Anaxios !

C’est tout simplement douloureux que ce grand et saint homme, Joseph Ratzinger, ait été livré à la postérité avec un tel manque de respect de la part de son successeur. Un mépris mis à nu, sur une scène mondiale. D’une certaine manière, le dernier acte de Benoît XVI a été d’exposer la petitesse de l’âme de François.

(*) Il est l’auteur d’un best-seller « The Benedict option », traduit en français en septembre 2017 sous le titre « Comment être chrétien dans un monde qui ne l’est plus: Le pari bénédictin » (cf. www.amazon.fr).
On lira avec intérêt un long entretien avec AM Valli, en 2018: Benoît XVI est mon père spirituel|Benoit et Moi

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