Le « devoir de mémoire » de Philippe de Villiers qui rappelle un épisode particulièrement atroce du 28 février 1794.
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Le beau film racontant la tragédie vendéenne à travers l’épopée du général Charette, qui a rencontré un succès inattendu de box-office malgré des critiques au mieux « frileuses » mais dans la plupart des cas dévastatrices, a au moins eu le mérite de faire connaître (même indirectement, ceux qui ne l’ont pas vu en auront peut-être entendu parler à travers les polémiques) les crimes « cachés » de la révolution.

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