1- Il Sismografo se félicite de la « transparence » toute nouvelle dont fait preuve le bureau de presse du Vatican dans l’information sur la santé du pape: de quoi il y a à se féliciter, franchement, cela m’échappe. La transparence serait-elle une valeur évangélique? J’ai des doutes (ce sont les ennemis de l’Eglise qui lui réclament sans cesse la « transparence », qu’eux-mêmes sont loin de pratiquer)


2- La maladie (ou peut-être la proximité de la fin, mais nous ne savons pas, c’est Dieu qui décide) ne fait pas ipso facto de quelqu’un un saint. Mais la maladie se respecte, et ce respect justifie au moins la discrétion.

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