Rien de surprenant, en réalité, il dérange encore plus blessé à mort que vivant. Le traitement médiatique (je cite la station de radio que j’allume machinalement en me réveillant) est un service minimum mâtiné de rétention, voire de falsification, d’information. Circulez, y’a rien à voir. Et puis la Slovaquie, pensez donc, 90% des Français savent à peine la situer sur la carte.
Selon l’inévitable « expert en questions slovaques » interrogé, Fico était corrompu, il entretenait sans doute des liens troubles avec la mafia (on le sait, les dirigeants « démocratiques » sont tous irréprochables, et la mafia est un repoussoir idéal).
Pour en savoir un peu plus (et un peu mieux), mieux vaut s’informer ailleurs. Comme chez Luca Volontè, sur la NBQ – qui ne fait toutefois pas allusion au point très sensible de l’opposition frontale de Fico aux politiques vaccinales de l’UE… donc à la von der Leyen (dans un discours devant l’Assemblée, il a osé parler de la conspiration von der Leyen – Pfizer) , qui s’est précipitée pour joindre sa voix au choeur hypocrite des pleureuses.

On me pardonnera de citer X et ses « complotistes » de service!!

Attentat contre Robert Fico, victime d’un climat de haine internationale.

Luca Volontè
La NBQ
16 mai 2024

Robert Fico, premier ministre slovaque, a été victime d’un attentat. L’agresseur est un anonyme de 71 ans passionné de poésie, mais le climat de haine propagé par l’UE et les philanthropes monte depuis des années.

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Depuis hier après-midi, e pronostic vital du premier ministre slovaque Robert Fico est engagé: après avoir été victime d’une tentative d’assassinat, a indiqué le bureau du gouvernement slovaque dans une note envoyée par courriel aux agences de presse, il a été transporté par hélicoptère à l’hôpital de Banska Bystrica et y a subi une opération chirurgicale d’urgence. L’auteur de la tentative de meurtre serait un écrivain de 71 ans originaire de la ville de Levice, dans l’ouest du pays, selon le média slovaque Markiza.

Nous avons confiance dans le rétablissement de Fico et laissons l’enquête à la police, mais les commanditaires sont clairs, ceux qui ont inspiré la main du poseur de bombe siègent parmi les cols blancs bruxellois, dans les rédactions des médias libéraux-socialistes et à la tête d’énormes philanthropies mondialistes transatlantiques.

Robert Fico (premier ministre à quatre reprises), chef de file des socialistes slovaques, fier nationaliste et identitaire, mais aussi défenseur des valeurs familiales chrétiennes du pays, a reçu une balle dans la poitrine et le thorax alors qu’il s’adressait aux citoyens après une réunion gouvernementale à Handlová, une ville minière de la région de Trenčín.

Mardi 14 mai déjà, plus de 1 100 institutions en Slovaquie, principalement des écoles, avaient reçu par courrier électronique des menaces d’attentats à la bombe ou à l’explosif ; selon les autorités policières, pas moins de 995 établissements d’enseignement, 110 agences bancaires et 40 magasins d’électronique avaient reçu des courriers menaçants de la part de groupes fantômes de moudjahidines islamistes. L’attentat d’hier ne serait toutefois pas lié à des menaces émanant de groupes islamistes.

Après sa victoire aux élections législatives du 30 septembre, saluée par les médias libéraux mondialistes du monde entier comme une victoire immonde d’« une figure pro-Kremlin… un défi pour l’unité de l’OTAN et de l’UE en Ukraine », le Premier ministre Fico a pu constituer une majorité parlementaire et gouvernementale solide, cohérente et claire. Ce qui est encore plus agaçant, c’est que Fico a pu faire élire un président de la République sérieux et respecté comme Peter Pellegrini en avril dernier . Une double victoire indigeste pour tous ceux qui mitonnent les narratifs liberal-socialiste » utiles au seul pouvoir des philanthropes et des ploutocrates sans scrupules.

Un homme politique qui a résisté à des mois de guerre totale et systématique menée contre lui par de nombreuses ONG richement dotées depuis l’étranger, des commissaires européens pro-tempore et la « centrale de presse » liberal-socialiste mondialiste l’ont accusé de tous les abus anti-démocratiques, de toutes les tentations autoritaires et de toutes les servilités poutiniennes, entraînant chaque semaine des manifestants à protester contre le gouvernement démocratiquement élu.

Selon les élites de gauche, la Slovaquie fait des pas en arrière en matière de culture, de protection de la nature, d’économie, de justice et de liberté d’information publique. En mars dernier, ils étaient 15 000 dans les rues de Bratislava, le premier mai, ils n’étaient plus que 5 000, mais pour emboucher les trompettes du mensonge de l’autoritarisme de Robert Fico et de son gouvernement, c’était Bruxelles d’abord.

Depuis le début de l’année, la Commission, avec le délégué à la justice Didier Reynders et la commissaire aux valeurs Vera Jourova d’une part, et le Parlement européen d’autre part, ont lancé des menaces enflammées contre le gouvernement de Robert Fico, coupable d’avoir gagné les élections et d’être capable de gouverner. A cela se sont ajoutées les menaces et les inquiétudes du nouveau commissaire européen aux droits de l’homme, ce Michael O’Flaherty qui a toujours été le champion des lobbies LGBTI mondiaux.

Les « dommages irréparables et le vulnus très graves » à l’État de droit que subirait la Slovaquie en raison des réformes du gouvernement Fico ne sont en fait rien d’autre que des projets de réforme partagés par la majorité des électeurs du pays, réélaborés dans le programme du gouvernement qui représentent une large majorité au parlement (79/150 membres) et dans le pays.

Ursula von der Leyen, a condamné l’attentat, déclarant que « de tels actes de violence n’ont pas leur place dans notre société et sapent la démocratie, notre bien commun le plus précieux », la présidente slovaque sortante Zuzana Caputova, Peter Pellegrini prendra ses fonctions le 15 juin prochain, Le chancelier allemand Olaf Scholz, le premier ministre italien Giorgia Meloni, le Hongrois Viktor Orban, le Britannique Rishi Sunak et d’autres premiers ministres et dirigeants politiques du monde entier ont exprimé leur inquiétude, leur consternation et leurs souhaits de prompt rétablissement.

Les commanditaires des manifestations populaires, ceux qui ont abusé de leur pouvoir institutionnel et les auteurs de la dramatisation appelant à la défense démocratique, de toute urgence et par tous les moyens, sont les vrais coupables, les instigateurs moraux et les inspirateurs de l’attaque d’hier au cœur de l’Europe.

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