C’était hier le dernier rendez-vous hebdomadaire de la saison, son entretien du vendredi soir avec deux journalistes de la chaîne d’info de Bolloré.
Il était uniquement question de la situation crée par la folle décision de Macron, et de ce qu’on pouvait attendre pour après.
Que dire?
Philippe de Villiers est un gentilhomme, il a certes la noblesse de son arbre généalogique mais surtout la vraie noblesse, celle du coeur.
L’entretien ne dure que (!) 45 minutes, et il mérite franchement d’être écouté en entier. En glissant la souris (ou le doigt, dans le cas d’un écran tactile) sur la ligne temporelle de la vidéo ci-dessous, on peut voir défiler les différents chapitres.
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Certains passages sont carrément sombres, voire flippants (vers 34:24: la quatrième hypothèse… Mélenchon).
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Dans le registre plus positif, signalons :
- Vers 23:26, « Alain Minc tacle Emmanuel Macron » (quand les « Frankestein » d’aujourd’hui, les Attali, Minc et Schwab, débranchent la « créature »)
- Vers 36:18: les cent premiers jours à Matignon. Quelles priorités?
- Vers 39:30: L’âge de Bardella, un problème pour Matignon?
« Il a un pet sous le casque »
En bonus, une confidence, j’en ris encore (si on pouvait rire en ce moment!).
Philippe de Villiers commente (25:30) la fameuse vidéo montrant Macron déambulant avec sa femme dans les rues du Touquet avant d’aller voter, le 30 juin.
Littéralement déguisé en « racaille » de luxe avec « bomber » de cuir noir, jean’s serré, casquette et sneakers, entouré d’une nuée de gorilles (non, ce n’était pas vraiment un bain de foule), d’une décontraction stupéfiante, comme s’il disait aux Français « je fais ce que je veux et je vous dis m****, alors qu’il vient de déclencher un cyclone.
Le petit-fils de Villiers, regardant les images, a laissé tomber « il a un pet au casque » (sic!) .
La vérité sort de la bouche des enfants.