Mise à jour le 12 juillet – Je reprends une partie d’un article que j’avais publié en mars 2017, donc juste quatre ans après l’élection de JM Bergoglio, et avant la chute de celui qui était encore le cardinal McCarrick, lâché ensuite par François parce que ses répugnantes activité de prédateur sexuel ne pouvaient plus être cachées. Il y est question d’une conférence que ledit McCarrick avait donnée devant les étudiants d’une université américaine en octobre 2013 (l’article était illustré par une vidéo, qui a fort opportunément été effacée depuis, mais un lecteur en a retrouvé trace: https://youtu.be/3JO26X2PpUE ), dans laquelle il avouait ingénument (?) que, bien que n’étant plus électeur en 2013 pour raison d’âge, il avait été recruté à Rome par un mystérieux interlocuteur italien pour faire la promotion du cardinal Bergoglio.
Drôle de sponsor, en plus de la mafia de St-Gall, pour un pape vertueusement élu.
McCarrick parlait de 2 ans, et comme François en a eu 8 de plus à ce jour, il est facile de comprendre qu’il ne s’agit plus de réformer l’Eglise, mais de la démolir!!


(…)

Au début de mars 2013, le bruit commença à se répandre rapidement dans le Collège des Cardinaux qu’un puissant mouvement se préparait pour élire Bergoglio.

Dans un discours étonnant donné six mois après l’élection de Bergoglio, le cardinal Theodore McCarrick, archevêque émérite de Washington révéla comment il fut amené à faire partie du plan pour élire le nouveau pape.


«Avant le Conclave, personne ne pensait qu’il y eût une chance pour Bergoglio» dit-il dans une conférence du 1er Octobre 2013 donnée à l’Université Villanova à Philadelphie, en Pennsylvanie.

McCarrick, qui était trop âgé pour voter au conclave, dit qu’avant l’événement « un monsieur italien très intéressant et très influent » lui a rendu visite à l’American College à Rome où il se trouvait pour lui demander de faire campagne pour Bergoglio. La conversation, telle qu’elle est rapportée par McCarrick, doit être citée en détail pour révéler sa signification.

Nous nous sommes assis. C’est un homme très brillant, un homme très influent à Rome. Nous avons parlé d’un certain nombre de choses. Il avait une faveur à me demander pour [quand je serais] de retour aux États-Unis.

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Mais alors [l’Italien influent] dit: « Qu’en est-il de Bergoglio? ». Et j’ai été surpris de la question.
Moi: « Qu’en est-il de lui..? »
Lui: « A-t-il une chance? »
Moi: « Je ne pense pas, parce que personne n’a mentionné son nom. Il n’est jamais venu à l’idée de personne. Je ne pense pas que ce soit venu à l’idée de qui que ce soit de voter pour lui ».
Lui: « Il pourrait réussir, vous savez ».
Moi: « Que pourrait-il réussir?
Lui: «[Bergoglio] pourrait réformer l’Église. Si nous lui donnons cinq ans, il pourrait nous remettre en selle.
Moi: « Mais il a 76 ans ».
Lui: « Oui cinq ans. Si nous avions cinq ans, le Seigneur, travaillant par Bergoglio, en cinq ans pourrait refaire l’Église ».
Moi: « C’est très intéressant ».
Lui: « Je sais que vous êtes son ami ».
Moi: « J’espère l’être ».
Lui: « Parlez-lui en ».
Moi: « Eh bien, nous verrons ce qui se passe. C’est le travail de Dieu. ‘
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C’est la première fois que j’entendais dire qu’il y avait des gens qui pensaient que Bergoglio serait une possibilité dans cette élection.

McCarrick a poursuivi son discours en disant que lorsque son tour est venu de parler à tous les cardinaux avant le vote, il les a exhortés à élire quelqu’un venant d’«Amérique latine» qui pourrait s’identifier avec les pauvres.

Dans son discours, il a ensuite fait l’éloge de François devant les étudiants catholiques américains, comme d’un «pasteur» plus grand que les précédents papes. «Je pense que nous avons peut-être jamais eu un tel « pasteur » depuis longtemps » a-t-il dit.

Il a poursuivi: «[François] a une compréhension de la nature humaine, une compréhension…, bien qu’il dise des choses qui peuvent nous surprendre, mais la chose intéressante est que si vous examinez ce qu’il dit, c’est ce que l’Église a toujours dit. Peut-être pas ce que les canonistes ont toujours dit, ou ce que les différents théologiens ont toujours dit. Mais l’enseignement de toujours de l’Église est l’enseignement de François».

McCarrick prédisait à cette époque que François «s’il dispose de deux ans, aura changé la papauté».

«Plus longtemps il restera, plus je pense qu’il est probable que nous pourrons dire qu’il a changé la papauté», a-t-il dit.

(…)

Pete Baklinski
www.lifesitenews.com
1er mars 2017
(Ma traduction)


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