Quelle est la plus grande catastrophe écologique qui se déroule actuellement sur la planète et en même temps qu’il serait la plus simple (attention: j’ai dit « simple », pas « facile ») d’arrêter ? La guerre en Ukraine.
Et pourtant, les classes dirigeantes européennes ne font rien pour mettre un terme à la catastrophe, au contraire (au fait, elle est où, la Greta? Non pas qu’elle soit une dirigeante, elle se contente d’être leur marionnette). La preuve par les faits qu’ils ne croient pas un mot de ce qu’ils nous « racontent ». Une nécessaire mise au point de notre blogueur « dantesque » Leonardo Lugaresi.

Guerre en Ukraine et écoterrorisme: ils ne croient à rien de ce qu’ils disent.

Quelle est la plus grande catastrophe écologique qui se déroule actuellement sur la planète et en même temps qu’il serait la plus simple (attention : j’ai dit « simple », pas « facile ») d’arrêter ? La guerre en Ukraine.

En termes de destruction insensée de ressources, de pollution environnementale, de risque de déclenchement de catastrophes nucléaires incontrôlables, je ne pense pas qu’il y ait un autre événement qui puisse l’égaler. Y mettre fin immédiatement devrait donc être au sommet de l’échelle des priorités pour les classes dirigeantes européennes. Bien entendu, elles se fichent éperdument des vies humaines (il n’y a que les Ukrainiens et les Russes qui meurent de toute façon, non ?), mais elles se soucient de la planète, n’est-ce pas ? Ne fondent-elles pas toutes leurs politiques sur « l’urgence environnementale » ? N’est-ce pas pour cela qu’elles s’acharnent depuis des années à démolir le niveau de vie des peuples d’Europe par de ruineuses inepties telles que l’obligation de rouler en voiture électrique ?

Pourquoi alors ne s’opposent-elles pas à la plus grande menace pour l’environnement qui pèse actuellement sur le continent européen ? Pourquoi n’exigent-elles pas, au minimum, que les chars des gentils soient respectueux de l’environnement ? (ironie). Comment se fait-il que les mêmes personnes qui disent « si vous allumez la cheminée ou le barbecue, nous allons tous mourir » et qui fixent des objectifs insensés pour la « transition écologique » parce que « nous n’avons plus le temps », regardent impassiblement le « grand feu de joie » ukrainien et sont tous alignés sur la ligne « fin de la guerre, jamais » ?

La réponse est évidente. Parce qu’ils ne croient pas un mot de ce qu’ils disent, non seulement quand ils parlent de la guerre, mais aussi quand ils parlent de l’urgence environnementale.

Mots Clés :
Share This