De « The Wanderer »: On dit qu’une image vaut mille mots…
« Sur la photo illustrant cet article, nous voyons le très digne et courageux évêque Strickland, que François veut faire fuir parce qu’il ne partage pas ses idées, et nous voyons le même pontife entouré de ses amis qui partagent ses idées, qu’il cajole, qu’il protège et qu’il couvre ».
A noter que la liste des personnalités du monde civil ne contient que des Argentins. Il faudrait sans doute ajouter le Brésilien Lula, et, au minimum, quelques Italiens
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François, ses amis et Mgr Strickland
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Tout semble indiquer que, dans les prochains jours, le Vatican va faire pression sur Mgr Joseph Strickland, l’un des rares à avoir courageusement dénoncé la dérive à laquelle le pontificat de François a soumis l’Église, afin qu’il démissionne. Nous verrons comment le prélat réagira. Le mécanisme est ancien – il a été appliqué avec grand succès par saint Pie X, qui a remplacé un tiers de l’épiscopat italien par ce moyen – et Bergoglio y prend un plaisir particulier.
En Argentine, nous avons connu plusieurs cas, tous très tristes. Le plus pathétique de tous qui me vient à l’esprit, c’est quand un évêque a démissionné à la première demande de Rome au motif que « mon évêque est le pape », c’est-à-dire qu’il a abandonné sa dignité de successeur des apôtres et s’est soumis sans poser de questions à la dictature romaine, comme un directeur de succursale se soumet au directeur général de l’entreprise.
On dit qu’une image vaut mille mots. Sur la photo illustrant cet article, nous voyons le très digne et courageux évêque Strickland, que François veut faire fuir parce qu’il ne partage pas ses idées, et nous voyons le même pontife entouré de ses amis qui partagent ses idées, qu’il cajole, qu’il protège et qu’il couvre. Il s’agit des personnes suivantes
- L’évêque Gustavo Zancheta, condamné et emprisonné pour abus sexuels sur des séminaristes
- Le père Ivan Rupnik, S.J., accusé de multiples abus sexuels sur des religieuses.
- Monsieur Theodore McCarrick, ex cardinal, condamné pour de multiples abus sexuels sur des séminaristes.
- Milagro Salas, condamnée et emprisonnée pour corruption, vol et extorsion.
- Juan Grabois, leader politique de gauche, usurpateur de terres et leader des mouvements sociaux les plus combatifs et corrompus.
- Pablo Moyano, le syndicaliste le plus corrompu, le plus violent et le plus mafieux d’Argentine.
- Les membres de La Cámpora, le mouvement péroniste coupable de la catastrophe de l’économie argentine et responsable, selon des estimations prudentes, d’une dette de 50 000 millions de dollars américains due à une mauvaise gestion financière et à un manque de compétence dans la gestion du pays.
- Cristina Kirchner, vice-présidente et ancienne présidente du pays, condamnée à la prison pour vol.
- Hebe de Bonafini, activiste payée par la gauche internationale qui, entre autres gestes mémorables, a déféqué derrière l’autel principal de la cathédrale métropolitaine de Buenos Aires et a protégé la corruption économique dans sa fondation.
Le même pape qui persécute et exige la démission d’un évêque catholique, qui ne fait rien d’autre que défendre la foi, embrasse et sourit avec les pires déchets de la racaille du monde politique et clérical.