On dira qu’il n’y a aucun rapport entre les deux: au minimum, les deux sont tout sauf une bonne nouvelle pour les institutions respectives qu’ils sont censés servir. Et aussi que le second nom n’a pas sa place dans un site consacrée à l’actualité de l’Eglise: là encore, ça se discute, le pape lui-même ayant rendu très floue la frontière entre la politique et la religion.

La classe médiatique feint de s’extasier sur la « popularité » du jeune ministre. Peut-être. Les gens n’ayant pas la moindre idée de qui il est peuvent bien croire n’importe quoi à son sujet, leur opinion actuelle n’a aucune valeur. Les médias sont spécialistes pour peaufiner les portraits des gens en fonction de leurs objectifs, selon qu’ils veulent les promouvoir ou les démolir, et les sondages leur permettent ensuite de vérifier s’ils sont ou non parvenus à leurs fins.

Je reprends donc ici un post de Julian Branco qui circule actuellement sur internet et qui m’a été transmis ce matin. Qui est Julian Branco, je laisse le lecteur le découvrir: apparemment, il connaît très bien Attal, dont il fut le condisciple à l’Ecole alsacienne où le fils à papa a fait ses humanités (sans pousser beaucoup plus loin sa formation: ils ne peuvent pas nous le vendre comme un « surdiplômé », ils ont essayé « surdoué »: « surpistonné » serait plus juste). Et évaluer librement le crédit qu’ils veulent accorder à son témoignage. Personnellement, je n’ai pas d’opinion. Je trouve simplement que c’est intéressant. Je précise que je ne connais pas Julien Branco, sinon de nom (et j’ai lu sa notice wikipedia, pour ce qu’elle vaut), que j’ignore ses motivations et que je n’ai pas lu son livre – par ailleurs disponible en poche.

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