C’est un comploteur – pas un complotiste -, Klaus Schwab en personne, qui annonce la couleur lors d’un « Sommet pour le gouvernement mondial » qui s’est tenu ces jours-ci à Dubaï: traçant les grandes lignes du scenario qui nous attend, il prévient que les chaînes d’approvisionnement mondiales, les systèmes énergétiques et alimentaires seront profondément affectés. Bref, il veut nous assurer un avenir meilleur. Même si les gens n’en veulent pas (encore faudrait-il qu’ils soient au courant et se décident à sortir de leur léthargie).

Schwab a répété à plusieurs reprises que la course vers la technocratie et les systèmes de crédit social qui en découlent est accélérée par la quatrième révolution industrielle, et que l’objectif sera la « fusion de nos identités physiques, numériques et biologiques ».

« Changements systémiques de portée historique en vue ».

Parole de mondialiste

Les 29 et 30 mars s’est tenu à Dubaï le World Government Summit 2022. Dans la capitale des Émirats arabes unis, on a discuté de la manière d’introduire le nouvel ordre mondial. La présentatrice de CNN Becky Anderson a ouvert la rencontre en demandant : « Sommes-nous prêts pour un nouvel ordre mondial ? ». L’objectif déclaré était de « donner forme aux gouvernements du futur » et de « créer un avenir meilleur pour l’humanité ».

Parmi les participants, on retrouve immanquablement le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, la directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Georgieva, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, et le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.

AMV


Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, a déclaré au World Government Summit: « L’histoire est vraiment à un tournant », avec l’instabilité économique, les conflits entre les grandes puissances mondiales et la quatrième révolution industrielle qui s’annonce.

Selon Schwab, il y aura des changements systémiques et structurels, et les chaînes d’approvisionnement mondiales, les systèmes énergétiques et alimentaires seront profondément affectés.

Le monde, a-t-il affirmé, « doit non seulement surmonter les dommages que le Covid-19 a causés à notre économie et à notre société, mais aussi affronter les implications d’un dangereux conflit entre les grandes puissances mondiales ».

Qu’il s’agisse d’une guerre, d’une cyberattaque ou d’une partie de l’agenda du Great Reset, Schwab est certain que des changements systémiques et structurels sont à venir dans les domaines de l’alimentation, de l’énergie et des chaînes d’approvisionnement mondiales.

Schwab a remercié les Émirats arabes unis d’avoir accueilli son « Great Narrative Meeting » en novembre et a félicité le pays d’avoir créé un centre pour la quatrième révolution industrielle (4IR) :

« Avec toutes les questions d’actualité à l’ordre du jour, nous avons tendance à oublier que nous sommes au milieu de la quatrième révolution industrielle, qui accélère le changement mondial d’une manière beaucoup plus importante et rapide que les trois révolutions précédentes. Je suis fier que le gouvernement de Dubaï ait été si prévoyant en créant un centre pour la quatrième révolution industrielle en collaboration avec le Forum économique mondial. En temps de crise, le rôle des gouvernements est plus important et plus utile que jamais.

L’objectif du centre de Dubaï, selon Schwab, est « d’identifier rapidement le potentiel des nouvelles technologies et de développer les cadres éthiques et politiques nécessaires à ces nouvelles technologies afin de s’assurer qu’elles sont centrées sur les personnes et la société ».

Faisant référence à la crise préférée des mondialistes – le changement climatique – Schwab a dit que les défis interconnectés au niveau mondial nécessitent des réponses mondiales et conjointes.

Schwab a répété à plusieurs reprises que la course vers la technocratie et les systèmes de crédit social qui en découlent est accélérée par la quatrième révolution industrielle, et que l’objectif sera la « fusion de nos identités physiques, numériques et biologiques ».

L’humain piratable (hackable) est à l’horizon. Ou peut-être y sommes-nous déjà.

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