(Article repris par AM Valli). Pour certains lecteurs, l’existence de cercles d’influence comme les Young Global Leaders sera une découverte. Pour d’autres, disons que l’article qui suit constituera une utile piqûre de rappel. Libre ensuite à chacun d’écarter (ou non) d’un revers de main le phénomène de ces « pouvoirs forts » qui gouvernent de fait par-dessus la tête des « élus » démocratiquement (?) issus des urnes. Des pouvoirs forts qui ont tout intérêt à discréditer (et qui ont les moyens de le faire) ceux qui ont tiré un bout, même infime, de l’écheveau compliqué d’intrigues, de réseaux et de connivences qui leur sert à diriger le monde (et là, à partir de l’internet le plus officiel, il y a matière à enquête, et comment!! à commencer par les lauréats français). C’est le but unique de ce mot: complotisme.

La conclusion à tirer de tout cela, est que la démocratie telle que nous la connaissions a été discrètement effacée et que, bien que l’apparence de processus démocratiques soit maintenue dans nos pays pour le moment, un examen du fonctionnement de la gouvernance dans le monde montre qu’une élite d’individus super riches et puissants contrôle effectivement tout ce qui se passe en politique, comme cela a été particulièrement évident en ce qui concerne la réponse à la pandémie.

L’école pour dictateurs de Klaus Schwab. C’est de là que sont sortis les leaders du Great Reset.

Comment est-il possible que plus de cent quatre-vingt-dix gouvernements dans le monde entier aient fini par affronter la « pandémie » de Covid-19 presque exactement de la même manière, avec des blocus, des masques obligatoires et des cartes de vaccination désormais à l’ordre du jour partout? La réponse se trouve peut-être dans l’école Young Global Leaders, fondée et dirigée par Klaus Schwab, du Forum économique mondial, et que de nombreux dirigeants politiques actuels ont fréquentée pour atteindre le sommet.

Dans une vidéo du German Corona Committee, l’économiste, journaliste et auteur allemand Ernst Wolff a révélé quelques faits concernant l’école Young Global Leaders de Schwab qui sont utiles pour comprendre les événements mondiaux pendant la pandémie. Bien que Wolff soit principalement connu comme critique du système financier mondialiste, il s’est récemment attaché à mettre en lumière ce qu’il considère comme l’agenda caché derrière les mesures anti-Covid en place dans le monde.

Des débuts mystérieux

L’histoire commence avec le « Forum économique mondial » (WEF), une ONG fondée par Klaus Schwab, un économiste et ingénieur en mécanique allemand, en Suisse en 1971, alors qu’il n’avait que trente-deux ans. Le WEF est surtout connu du public pour les conférences annuelles qu’il organise à Davos, en Suisse, chaque année en janvier, et qui visent à réunir des dirigeants politiques et économiques du monde entier pour discuter des questions d’actualité. Aujourd’hui, il s’agit de l’un des réseaux les plus importants au monde pour l’élite du pouvoir mondialiste, financé par un millier de sociétés multinationales.

Le WEF, appelé à l’origine Forum européen du management jusqu’en 1987, a réussi à réunir 440 cadres de trente et un pays lors de sa première réunion en février 1971, ce qui, comme le souligne Wolff, était une réussite inattendue pour quelqu’un comme Schwab, qui n’avait que très peu d’expérience internationale ou professionnelle auparavant. Selon Wolff, la raison pourrait être due aux contacts que Schwab a noués au cours de sa formation universitaire, notamment avec nul autre que l’ancien conseiller à la sécurité nationale et secrétaire d’État Henry Kissinger. Wolff souligne également que, pendant que Schwab était là, la Harvard Business School préparait son propre forum de gestion, et il est possible que Harvard ait fini par lui déléguer la tâche d’organiser ce forum.

Au départ, le forum ne réunissait que des personnes du monde des affaires, mais il a rapidement attiré des hommes politiques, des personnalités des médias (dont la BBC et CNN) et même des célébrités.

Les jeunes leaders mondiaux de Schwab. Un incubateur du Great Reset?

En 1992, Schwab a créé une institution parallèle, l’école Global Leaders for Tomorrow, qui a été reconstituée sous le nom de Young Global Leaders en 2004. Les participants à l’école doivent demander leur admission et sont ensuite soumis à un processus de sélection rigoureux. Parmi les membres de la toute première promotion de l’école, en 1992, figuraient déjà de nombreuses personnes qui allaient devenir des personnalités politiques libérales de premier plan, comme Angela Merkel, Nicolas Sarkozy et Tony Blair. Cette école compte actuellement environ 1 300 diplômés et la liste des anciens élèves comprend plusieurs noms de ceux qui sont devenus des dirigeants des institutions de santé de leurs nations respectives. Quatre d’entre eux sont d’anciens ou d’actuels ministres de la santé en Allemagne, dont Jens Spahn, ministre fédéral de la santé depuis 2018. Philipp Rösler, ministre de la santé de 2009 à 2011, a été nommé directeur général du WEF par Schwab en 2014.

Parmi les autres noms notables figurant sur la liste de l’école figurent Jacinda Ardern, premier ministre de Nouvelle-Zélande, dont les mesures de blocage strictes ont été saluées par les autorités sanitaires mondiales; Emmanuel Macron, président de la France [ndt: selon sa notice wikipedia – qui est certainement étroitement couvée par ses soins – il est membre de la promotion 2012 des « Young Leaders » de la French-American Foundation. Il est membre de la promotion 2013 des « Young Leaders » de la France China Foundation]; Sebastian Kurz, qui était jusqu’à récemment chancelier d’Autriche ; Viktor Orbán [surprenant? ndt], premier ministre hongrois ; Jean-Claude Juncker, ancien premier ministre luxembourgeois et président de la Commission européenne ; et Annalena Baerbock, leader des Verts allemands, première candidate du parti à la chancellerie lors des élections fédérales de cette année et toujours en lice pour succéder à Mme Merkel. Le gouverneur de Californie Gavin Newsom, qui a été sélectionné pour la promotion 2005, figure également sur la liste, de même que l’ex candidat à la présidence et actuel secrétaire d’État américain aux transports, Peter Buttigieg, un ancien élève très récent, qui a été sélectionné pour la promotion 2019. Tous ces hommes politiques qui étaient au pouvoir ces deux dernières années ont favorisé des réponses sévères à la pandémie de Covid-19, et ont également considérablement accru le pouvoir de leurs gouvernements respectifs.

Mais la liste des anciens élèves de l’école ne se limite pas aux dirigeants politiques. On y trouve également de nombreux capitaines de l’industrie privée, dont Bill Gates de Microsoft, Jeff Bezos d’Amazon, Richard Branson de Virgin et Chelsea Clinton, de la Clinton Foundation [et accessoireement « fille de », ndt]. Une fois de plus, tous ont exprimé leur soutien à la réponse mondiale à la pandémie et beaucoup ont réalisé de notables profits grâce aux mesures qui ont été prises.

Wolff pense que les personnes qui se cachent derrière la WEF et l’école Global Leaders sont celles qui déterminent réellement qui deviendront des leaders politiques, même s’il souligne qu’il ne croit pas que Schwab lui-même soit celui qui prend ces décisions, mais qu’il est simplement un facilitateur. Il souligne également que l’école compte parmi ses anciens élèves non seulement des Américains et des Européens, mais aussi des personnes originaires d’Asie, d’Afrique et d’Amérique du Sud, ce qui montre que sa portée est véritablement mondiale.

En 2012, Schwab et le WEF ont fondé une autre institution, la Global Shapers Community, qui rassemble des personnes du monde entier ayant un potentiel de leadership et âgées de moins de 30 ans. Jusqu’à présent, une dizaine de milliers de participants ont suivi ce programme et ils organisent régulièrement des réunions dans quatre cents villes. Wolff pense qu’il s’agit d’un autre terrain d’essai où les futurs dirigeants politiques sont sélectionnés, contrôlés et préparés avant d’être placés dans l’appareil politique mondial.

Wolff souligne que très peu de diplômés de l’école Global Leaders inscrivent ce titre sur leur CV. Il dit ne l’avoir vu que dans un seul cas : celui de l’économiste allemand Richard Werner, un critique bien connu de l’establishment. Wolff suggère que l’école semble vouloir inclure dans ses rangs les critiques du système. Un autre nom parmi ses diplômés est celui de Gregor Hackmack, le responsable allemand de change.org [ce qui laisse songeur, ndt], qui faisait partie de la promotion 2010. Wolff pense que c’est parce que l’organisation veut se présenter comme juste et équilibrée, bien qu’elle veuille également s’assurer que ses détracteurs soient réduits à une opposition contrôlée.
Une autre chose que les diplômés du programme Global Leaders ont en commun, c’est que la plupart d’entre eux, avant d’être élevés à des postes de pouvoir, ont un curriculum vitae très pauvre en dehors de leur participation au programme, ce qui pourrait indiquer que c’est leur lien avec les institutions de Schwab qui est le facteur décisif dans le lancement de leur carrière. Cela est particulièrement évident quand les anciens élèves sont interrogés publiquement sur des questions qu’ils n’ont pas été formés à aborder au préalable, à tel point que leurs tentatives de réponses sont souvent assez évidentes. Wolff soutient que leur rôle ne devrait être que celui de porte-parole de ceux qui se trouvent dans l’ombre derrière eux.

Les Yes Men de Schwab en action

Compte tenu du mécontentement croissant suscité par les mesures anti-covid mises en place par les diplômés de l’école qui sont aujourd’hui des dirigeants nationaux, Wolff pense qu’il est possible que ces personnes aient été sélectionnées pour leur volonté de faire tout ce qu’on leur dit, et qu’elles aient été formées pour échouer afin que le contrecoup qui s’ensuivra puisse être utilisé pour justifier la création d’une nouvelle forme de gouvernement mondial. En effet, Wolff note que les hommes politiques dotés d’une personnalité unique et de points de vue forts et originaux sont devenus rares, et que la caractéristique des dirigeants nationaux de ces trente dernières années a été leur soumission et leur adhésion à une ligne mondialiste rigide dictée d’en haut. Cela a été particulièrement évident dans la réponse de la plupart des pays à la pandémie.

Il est difficile de déterminer exactement comment l’école fonctionne, mais Wolff a réussi à apprendre des choses à ce sujet. Au cours des premières années, les membres de chaque classe se réunissaient plusieurs fois dans l’année, notamment lors d’une session de dix jours de « formation des cadres » à la Harvard Business School. estime qu’en rencontrant leurs camarades de classe et en s’intégrant à un réseau plus large, les diplômés établissent des contacts sur lesquels ils pourront compter dans la suite de leur carrière. Aujourd’hui, le programme de l’école comprend des cours dispensés sur cinq ans à intervalles irréguliers, qui peuvent parfois coïncider avec le début de la carrière politique ou professionnelle de certains de ses participants, ce qui signifie qu’ils se rendront régulièrement à Davos. Emmanuel Macron et Peter Buttigieg, par exemple, ont été sélectionnés pour l’école il y a moins de cinq ans […? voir plus haut].

Un réseau mondial de richesse et d’influence

Les diplômés de l’école Young Global Leaders, et avant cela de Global Leaders for Tomorrow, sont bien positionnés car ils ont accès au réseau de contacts du WEF. Le conseil d’administration actuel du WEF comprend des sommités telles que Christine Lagarde, ancienne directrice générale du Fonds monétaire international et actuelle présidente de la Banque centrale européenne ; la reine Rania de Jordanie, classée par Forbes parmi les cent femmes les plus puissantes du monde ; et Larry Fink, PDG de BlackRock, la plus grande société internationale de gestion d’investissements qui gère quelque neuf mille milliards de dollars par an.

En retraçant les connexions entre les diplômés de l’école, Wolff dit que l’on peut voir comment ils continuent à s’appuyer les uns sur les autres pour soutenir leurs initiatives respectives, même longtemps après avoir participé aux programmes Global Leaders.

Wolff estime que de nombreuses universités d’élite jouent un rôle dans le processus déterminé par le WEF et ne doivent plus être vues comme opérant en dehors des domaines de la politique et de l’économie. Il cite l’exemple de la Harvard Business School, qui reçoit chaque année des millions de dollars de donateurs, et de la Harvard School of Public Health, qui a été rebaptisée Harvard TH Chan School of Public Health après avoir reçu 350 millions de dollars du milliardaire hongkongais Gerald Chan. Il en va de même pour la Johns Hopkins School of Public Health, devenue la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health après que le magnat des médias Michael Bloomberg a fait don de 1,8 milliard de dollars à l’école en 2018.

Selon Wolff, l’influence du WEF va bien au-delà de ceux qui ont suivi les programmes Global Leaders et Global Shapers, car le nombre de personnes participant aux conférences annuelles de Davos est bien plus important que ce que l’on croit. Selon lui, environ 1 500 jets privés amènent chaque année des participants à l’événement, surchargeant les aéroports suisses.

L’alliance entre les grandes entreprises et les gouvernements

Wolff considère que l’objectif principal des activités du WEF est de faciliter et de promouvoir une coopération au plus haut niveau entre les grandes entreprises et les gouvernements nationaux, ce que nous constatons déjà. L’avocate Viviane Fischer, autre participante au podcast du Corona Committee souligne que la société britannique Serco gère le traitement des migrants pour le gouvernement britannique et que, parmi ses nombreuses activités, elle gère également des prisons dans le monde entier.

La portée internationale de l’industrie pharmaceutique est elle aussi remarquable : Wolff rappelle que Bill Gates, ancien élève de Global Leaders, par exemple, par le biais des initiatives de santé publique de sa Fondation en Afrique, était depuis longtemps en affaires avec Pfizer, l’un des principaux producteurs du controversé vaccin anti-Covid, à base d’ARNm, bien avant le début de la pandémie.

Ce n’est peut-être pas une coïncidence si Gates est devenu un grand partisan des vaccins anti-Covid depuis qu’ils sont disponibles, et le Wall Street Journal a rapporté que sa fondation avait gagné quelque deux cents milliards de dollars en « avantages sociaux » grâce à la distribution des vaccins avant même que la pandémie ne commence. On ne peut qu’imaginer à combien s’élèvent aujourd’hui ses bénéfices sur les vaccins.

La technologie numérique, désormais omniprésente, joue également un rôle majeur dans les projets globaux de l’élite. Wolff souligne que BlackRock, dirigé par Larry Fink, ancien élève de Global Leaders, est actuellement le plus grand conseiller des banques centrales du monde et qu’il collecte des données sur le système financier mondial depuis plus de trente ans, ce qui lui permet sans doute de mieux comprendre le fonctionnement du système que les banques centrales elles-mêmes.

Selon Wolff, l’un des objectifs des politiques actuelles menées par de nombreux gouvernements est de détruire les entreprises des petits et moyens entrepreneurs, afin que les multinationales basées aux États-Unis et en Chine puissent monopoliser les affaires partout.

Amazon, qui était jusqu’à récemment dirigé par Jeff Bezos, ancien élève de Global Leaders, a notamment réalisé d’énormes bénéfices grâce à des mesures de blocage qui ont dévasté la classe moyenne.

Wolff affirme que le but ultime de cette domination des grandes plateformes est l’introduction d’une monnaie bancaire numérique. Ces derniers mois, l’International Finance Forum chinois, similaire au WEF, a proposé l’introduction du yuan numérique, qui pourrait à son tour être internationalisé par le réseau monétaire basé sur la blockchain DIEM.

Il est intéressant de noter que DIEM succède à Libra, une crypto-monnaie annoncée pour la première fois par Facebook de Mark Zuckerberg, ce qui indique qu’il est question d’une monnaie mondiale qui transcendera la puissance du dollar ou du yuan et sera gérée par la coopération des réseaux commerciaux chinois, européens et américains.

Le conseil de surveillance de l’International Finance Forum comprend des noms tels que Christine Lagarde du WEF, Jean-Claude Trichet, ancien président de la Banque centrale européenne, et Horst Köhler, ancien directeur du Fonds monétaire international.

Wolff explique également que les fermetures et les sauvetages qui ont suivi dans le monde entier au cours des deux dernières années ont laissé de nombreux pays au bord de la faillite. Pour éviter une catastrophe économique, les gouvernements du monde entier ont eu recours à 650 milliards de droit de tirage spécial, ou DTS, qui sont des actifs supplémentaires de réserve de change gérés par le Fonds monétaire international.

Quand ces derniers arriveront à échéance, les gouvernements en question se trouveront en grave difficulté, et c’est pourquoi l’introduction de la monnaie numérique est devenue une priorité soudaine, ce qui pourrait être l’objectif caché des fermetures depuis le début.

Wolff affirme que deux pays européens sont déjà prêts à commencer à utiliser la monnaie numérique : la Suède et la Suisse. Ce n’est peut-être pas une coïncidence si la Suède n’a pratiquement pas connu de restrictions de blocage en raison de la pandémie, tandis que la Suisse n’a pris que des mesures très légères. Selon Wolff, la raison pourrait être que les deux pays n’ont pas eu besoin de faire s’effondrer leur économie par des mesures de blocage, car ils étaient déjà prêts à commencer à utiliser la monnaie numérique avant le début de la pandémie.

Il soutient qu’une nouvelle série de blocages est peut-être en cours d’élaboration, qui mettra fin aux économies mondiales, avec un chômage de masse, l’introduction du revenu de base universel et l’utilisation d’une monnaie numérique gérée par une banque centrale. Cette monnaie pourrait avoir une portée limitée, à la fois en termes de biens sur lesquels les individus peuvent la dépenser et en termes de temps dans lequel elle peut être dépensée.

En outre, Wolff souligne que l’inflation qui sévit actuellement dans le monde est une conséquence inévitable du fait que les gouvernements nationaux, après avoir emprunté aux banques centrales, ont injecté quelque 20 000 milliards de dollars dans l’économie mondiale en moins de deux ans. Alors que les renflouements précédents visaient les marchés, ce dernier cycle s’adresse aux gens ordinaires et, par conséquent, fait grimper les prix des produits pour lesquels les gens ordinaires dépensent leur argent, comme la nourriture.

La démocratie a été effacée

La conclusion à tirer de tout cela, selon Wolff, est que la démocratie telle que nous la connaissions a été discrètement effacée et que, bien que l’apparence de processus démocratiques soit maintenue dans nos pays pour le moment, un examen du fonctionnement de la gouvernance dans le monde montre qu’une élite d’individus super riches et puissants contrôle effectivement tout ce qui se passe en politique, comme cela a été particulièrement évident en ce qui concerne la réponse à la pandémie.

Wolff soutient que la meilleure façon de lutter contre leurs conceptions est simplement d’éduquer les gens sur ce qui se passe et de leur faire comprendre que le récit du « virus super dangereux » est un mensonge destiné à les manipuler pour qu’ils acceptent des choses qui vont à l’encontre de leurs intérêts. Si ne serait-ce que 10 % des citoyens ordinaires en prenaient conscience et décidaient d’agir, cela pourrait contrecarrer les plans de l’élite et peut-être ouvrir une fenêtre permettant aux citoyens ordinaires de reprendre le contrôle de leur propre destin.

Source: rairfoundation.com

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