A l’issue de l’Angelus, le Pape annonce pour le 30 septembre un nouveau Consistoire, le dixième, pour créer 20 nouveaux cardinaux. Parmi eux… Tucho Fernández en personne (et 19 autres que je ne connais pas spécialement, dont l’évêque d’Ajaccio). 9 jours après sa nomination à la tête de la DDF, ça n’a pas traîné (et le cauchemar d’un futur François II n’est plus totalement extravagant).

A Dio piacendo, comme avait coutume de dire Benoît XVI lorsqu’il annonçait un évènement auquel il participerait, ou un voyage qu’il allait faire: que se passerait-il si le Pape allait rejoindre l’autre monde avant cette date? ce que je ne lui souhaite pas bien sûr.

(*) Voilà que je me lance dans la course au scoop que je ne me prive pourtant pas de dénoncer chez les autre. Nobody’s perfect! Mais la nouvelle en vaut la peine, enfin je trouve.

Je ne sais pas pourquoi j’ai pensé à ça…

Post-scriptum

Le 19 avril 2005, j’avais noté à chaud les réflexions que m’inspirait l’élection de Benoît XVI.
J’écrivais alors (ce sont les toutes premières pages de ce site qui existe depuis 2006):

Et puis, comment ne pas être impressionné par la trajectoire fulgurante du petit garçon bavarois issu d’une modeste famille paysanne, jusqu’à la plus haute charge de l’Eglise catholique, après avoir été, au dire de Time Magazine, en tant que préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, l’une des cents personnalités les plus influentes au monde. N’en déplaise aux zélateurs de la démocratie et de son soi-disant « ascenseur social », ceci témoigne de l’incroyable capacité de l’Eglise avec sa structure pyramidale, son système d’élection aristocratique et son et gouvernement monarchique (des survivances du passé !) à promouvoir le vrai mérite de l’excellence.

Les temps ont bien changé.

Et dire que ce pape a fait de la dénonciation du carriérisme dans l’Eglise un de ses chevaux de bataille.

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