Nous avons parlé récemment du logo du Synode (cf. Regardez bien le logo du Synode) à travers le regard d’un prêtre désabusé qui y avait vu, suggérée de façon à peine subliminale, l’affiche d’un film d’horreur des années 80. Evidemment, nous dit Sandro Magister dans son dernier billet, le logo est censé représenter une Eglise « inclusive » – le dernier chic en terme de catholicité – accueillant tout le monde (fratelli tutti) ou presque (indiétristes s’abstenir), et surtout les pécheurs non repentis et fiers de l’être, au premier rang, les nouvelles vaches sacrées du politiquement correct… (je n’insiste pas). Mais le prix à payer est énorme: à force d’inclure tout le monde, l’Eglise finit par exclure Dieu lui-même. Et en passant, par saper les fondements mêmes de l’Eglise.
Sandro Magister publie le commentaire très critique d’un théologien suisse, Martin Grichting, ex-vicaire général du diocèse de Coire.
Révolution sexuelle dans l’Eglise. Tous dedans, mais en contrepartie, Dieu est exclu
magister.blogautore.espresso.repubblica.it
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L’image-symbole du synode sur la synodalité, convoqué en session plénière en octobre prochain, est une tente qui s’élargit. Pour enfin « accueillir et accompagner » aussi ceux qui « ne se sentent pas acceptés par l’Église ».
Et qui sont les premiers sur la liste des exclus, dans l’Instrumentum laboris, le document qui oriente le synode ? « Les divorcés et remariés, les polygames et les LGBTQ+ ».
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Mots Clés : Synode-synodalité