Nous avons parlé (grâce à AM Valli, cf. Une nouvelle bergogliade: le pape à la télé) de la présence annoncée de François à la télévision dimanche soir, hôte d’une émission de vulgarisation (mais pas d’évangélisation, un gros mot à ne surtout pas prononcer devant lui) très cotée à l’audimat. Silere non possum nous offre quelques « perles » cueillies au fil de ce qui évoque de plus en plus le son d’un disque rayé.
LE PAPE FRANCOIS A LA TELEVISION :
« J’AIME PENSER QUE L’ENFER EST VIDE. J’ESPÈRE QUE C’EST LA RÉALITÉ »
Dimanche 14 janvier 2024, le souverain pontife était l’invité de l’émission Che Tempo Che Fa de la télévision italienne. Ce n’est pas la première fois que Bergoglio est interviewé par le programme, cela s’est déjà produit le 6 février 2022. Le pape a dit : » Derrière les guerres, il y a le commerce des armes. Un économiste m’a dit qu’en ce moment, les investissements qui donnent le plus d’argent sont les usines d’armement. Investir pour tuer ».
Concernant l’acte de contrition [en italien atto di dolore, cf. www.vaticannews.va/it/preghiere], taquiné par Fabio Fazio qui s’amuse à faire des homélies à la télévision avec ce ton de litanie, le Pape a déclaré que « parce qu’en péchant j’ai mérité vos châtiments »‘ est une expression trop dure. Tels sont les « chrétiens » cultivés dans des associations comme Nuovi Orizzonti, où l’argent et les abus psychologiques sont à l’ordre du jour. Fazio fait partie des nombreuses personnes qui ne mettent pas les pieds à l’église parce que ce qu’enseigne la doctrine catholique est totalement contraire à tous ses idéaux, mais il aime le pape François et adore fréquenter les Citadelle créées avec l’argent raflé par Chiara Amirante [fondatrice de Nuovi Orrizonti] d’une manière qui est loin d’être transparente .
Au sujet de Fiducia Supplicans, le pape a déclaré : « Ceux qui n’acceptent pas les décisions, c’est parce qu’ils ne savent pas. Quand tu n’aimes pas cette décision, tu vas parler. Le danger est que ça ne me plaise pas, que je le garde sur le cœur et que je résiste ». Le pontife oublie cependant de raconter à la télévision ce qu’il est advenu de ceux qui lui ont fait remarquer leur dissidence.
Les questions posées à François sont toujours les mêmes et les sujets toujours les mêmes, 50 minutes d’agonie : démission, guerre, Fiducia Supplicans, migrants, clercs d’État, tout pardonner et les litanies habituelles de François.
« En 54 ans de sacerdoce, je n’ai refusé qu’une seule fois l’absolution à cause de l’hypocrisie de la personne », a déclaré le pape. Bergoglio explique donc qu’il refuse l’absolution lorsqu’il a des sentiments négatifs à l’égard du pénitent et qu’il pense que celui-ci est hypocrite. Il ne regarde pas la gravité du péché ou le fait que le pénitent ne se repent pas. On touche à la folie
« La réforme la plus urgente est celle des cœurs dans l’Église. Chaque jour, le cœur doit être changé. Lorsque nous ressentons de l’envie dans le cœur, ce vice jaune, qui ruine toutes les relations, nous devons nous repentir et changer le cœur. Ensuite, les structures suivent, a déclaré François.
En ce qui concerne le voyage en Argentine, le pape François a déclaré que le changement de gouvernement ne permettait pas d’envisager un voyage imminent. Auparavant, il avait dit qu’il irait dès la fin des élections. Aujourd’hui, le changement de gouvernement ne permet pas le voyage. François a pourtant été invité à la fois par le président élu et par les évêques. Qui sait pourquoi Bergoglio ne veut absolument pas faire ce voyage.
En août, le pontife a mentionné qu’il se rendrait en Polynésie.